L’Omniscience se traduit par la relation de subsomption physico-mathématique E=M=G=EC=U=T=D qui est au final l’équation de l’Édifice Monde et du Vivant
Platon l’a esquissé dans le Timée. Einstein l’a tenté avec la Relativité. Je (Jean-Claude ALLAMELLE) l’ai réalisé avec l’Art Mathématique.
Platon (428 av JC – 347 av JC), dans le Timée, propose le premier modèle cosmologique du monde, le second étant le modèle Big Bang standard contemporain qui repose sur la relativité générale de Albert Einstein. Ce dernier s’est d’ailleurs inspiré du Timée pour formuler sa théorie.
En termes de méthode, Platon a proposé : « Ce qui permet de retrouver la trace de l’intelligible dans le sensible, ce sont les mathématiques ». Le sensible étant le monde physique. En cela, il a fait sienne l’idée de Parménide selon laquelle les mathématiques constituaient la seule possibilité de développement de l’intelligibilité humaine.
« Platon suppose qu’un démiurge bienveillant a fabriqué un univers constitué à partir de quelques éléments peu nombreux, primordiaux, simples et mathématiques, univers dans lequel tous les phénomènes trouvent leur explication scientifique si, et seulement si, on arrive à découvrir la formule mathématique utilisée par le dieu dans l’assemblage du cosmos. Le pont qui, espère Platon dans le Timée, permet de franchir le hiatus irrationalis correspond à la mathématique considérée comme construction purement rationnelle. Qui plus est, puisque le démiurge est bon, il va essayer d’assurer, dans la mesure du possible, la mathématisation de l’univers, en n’utilisant, de plus, qu’une mathématique accessible aux êtres humains. En dépit de cette métaphysique, Platon dans le Timée montre qu’on ne peut connaître rien d’autre que la formule mathématique qui exprime son changement. »
« Dans le Timée, Platon fait usage, ne fusse que de façon implicite, de ce qui va devenir « la » méthode utilisée pour toute recherche qui se prétend scientifique. Cette méthode exige que soit, au préalable, dressée une liste de présupposés ou d’axiomes. Cette liste établie, on cherche à vérifier si, en se fondant sur des règles d’inférence qu’on suppose acceptées et connues, les propositions qu’on arrive à déduire des axiomes présentent une correspondance convenable et raisonnable avec les données de l’observation. »
« Enfin, ce qui est le plus surprenant, Platon, dans le Timée, utilise pour la première fois dans l’histoire de la Science, les mathématiques comme l’instrument lui permettant d’exprimer et de déduire les conséquences qui découlent des axiomes postulés… Même si on peut le comprendre, il est surprenant de constater que, entre Platon et Galilée, soit pendant vingt siècles, personne n’a su apprécier dans toute son ampleur le pouvoir de manipulation des concepts abstraits que confèrent les mathématiques. »
Effectivement, Albert Einstein (1879-1955), s’est largement inspiré du Timée de Platon, pour édifier sa théorie de la relativité générale sur laquelle repose le modèle cosmologique contemporain, le « modèle Big Bang standard ».
Dans son livre testament « Comment je vois le monde », Albert Einstein précise : « D’après notre recherche expérimentale jusqu’à ce jour, nous avons le droit d’être persuadés que la Nature représente ce que nous pouvons imaginer en mathématique comme le plus simple. Je suis convaincu que la construction exclusivement mathématique nous permet de trouver les concepts et les principes les reliant entre eux. Ils nous donnent la possibilité de comprendre les phénomènes naturels. Les concepts mathématiques utilisables peuvent être suggérés par l’expérience, mais jamais, en aucun cas, déduits. L’expérience s’impose naturellement, comme unique critère d’utilisation d’une construction mathématique pour la physique. Mais le principe fondamentalement créateur se trouve dans la mathématique. Par conséquent, en un certain sens, j’estime vrai et possible pour la pensée pure d’appréhender la réalité comme le révéraient les Anciens. Pour justifier cette confiance, je suis contraint d’utiliser des concepts mathématiques … Pour notre recherche, il s’avère capital que toutes ces formes et leurs relations par des lois, s’obtiennent d’après le principe des recherches mathématiques les plus simples et de leurs liaisons. Si nous pouvons limiter les genres de champs simples existants mathématiquement et les équations simples possibles entre eux, alors le théoricien peut espérer appréhender le réel en sa profondeur. »
« Notre analyse s’intéresse précisément à cette situation paradoxale, à laquelle ont été confrontés les penseurs depuis Platon jusqu’à Einstein : il n’y a pas de rapport logique entre le système d’axiomes formalisé en quoi consiste, en définitive, la construction idéale que nous appelons « explication scientifique », et ce que nos sens peuvent, par le biais d’une opération de mesure, nous fournir comme information expérimentale. Einstein lui-même, dans une lettre à M. Solovine datée du 7 mai 1952, reconnaît l’absence de tout rapport logique entre ce qu’il appelle l’ensemble « S » des propositions théoriques (die gefolgerten Sätzte) et le niveau « E » de la perception sensible (die unmittelbaren Sinnes-Erlebnisse).
Au jour d’aujourd’hui, force est de constater les échecs successifs du Timée et de la relativité générale – Big Bang standard. Aucune de ces deux propositions n’est parvenue à résoudre la triple énigme « Avènement, Fonctionnement, Histoire » de l’Edifice Monde.
Premièrement, l’axiome selon lequel l’univers est une sphère surface « un espace topologique ». Par exemple, si l’on se réfère à un œuf, le Timée et la relativité générale-Big Bang standard considèrent l’univers comme la coquille de l’œuf qui serait souple. Ce postulat est contredit par les images abondement diffusées par les télescopes terrestres et spatiaux. Je ne parle pas des images artificielles en gros plan qui sont indéchiffrables. Les images de ces sources parleront « scientifiquement » lorsque les observatoires seront dotés d’optique à vision naturelle. C’est-à-dire une optique qui visualise les couleurs de la Nature, par exemple les couleurs de l’atmosphère terrestre aux levées et couchées du jour. Actuellement, les images qui parlent « scientifiquement » ce sont les images à très large champ où l’on voit les objets stellaires en lévitation à des distances considérables les uns des autres. L’observation humaine du ciel étoilé fait le même constat. Ces images et observations évoquent clairement un espace interne à une sphère. Et pour reprendre l’exemple de l’œuf, les images télescopiques et l’observation humaine nous montrent un univers (un monde) qui serait l’intérieur de la coquille qui abrite le blanc et le jaune de l’œuf. Donc le volume interne.
A ce propos, le mode Sphère, constitue la loi première de la physique de l’Edifice Monde. La quasi-intégralité des objets physiques de l’Edifice Monde s’expriment en mode sphère. C’est le cas de l’Etoile, de la Planète, du Rayonnement, de l’Univers, du Temps, du Proton, de l’Electron, de la Molécule. De ce théorème découle ce corolaire : le mouvement en ligne droite n’existe pas.
Secondement, l‘idée d’utiliser la mathématique est juste et indispensable. Mais cette mathématique doit s’opérer à priori et non à postériori. L’exploration mathématique doit précéder les énoncés de présupposés et d’axiomes. L’exploration en question nécessite moyen et capacité. Le moyen c’est le tableur et la capacité, celle de programmer, de modéliser sur ordinateur la mécanique fonctionnelle d’un objet physique quelconque, puis de simuler cette mécanique par calculs avec des données physiques réelles. William Thomson – Lord Kelvin 1824-1907 a précisé : « Si vous mesurez ce que vous étudiez et l’exprimer en nombre, vous savez quelque chose à son sujet, mais si vous ne savez pas le faire, votre connaissance ne reste qu’approximative, maigre et insuffisante. »
Ces Données de calculs sont relatives à M> Matière (Étoile, Planète, Vivant (Espèces, Humain), à E> Énergie (rayonnement thermique, radioactivité), à G> Gravité (Cosmos, Atmosphère, Étoile, Planète, Molécule, Atome), à EC> Espace, Cosmos (Vide), à U (Univers), à T (Temps), à D (Distances). C’est la seule et unique façon de se garantir du fameux hiatus irrationalis. A la fin des simulations, il est impératif que les résultats de mesures fassent l’objet de constatations physiques.
A la constatation des résultats, les données des simulations ainsi validées fournissent matière à énoncer la quintessence des lois applicables au sujet expérimenté. Ce ne sont pas des présupposés ni des axiomes. Davantage que des théorèmes, ce sont des lois de la Nature.
Effectivement, l’Art Mathématique consiste à élaborer des équations, à les tester, à les valider. Ces équations font appel à des constantes créées aux fins de généralisation et de mise en rapport d’égalité les dimensions des différentes grandeurs physiques. Dès lors, chaque équation et chaque constante constitue en soi une loi de la Nature. L’établissement de l’OmniScience a nécessité de l’ordre de 50 équations et 50 constantes.
Cette pratique relève de l’Art-Mathématique et de la Mathématico-Physique. La quasi-totalité des objets et phénomènes de l’Edifice Monde a été « expérimentée ». De ces résultats découlent la résolution de la Connaissance du Tout. C’est l’élucidation physique et historique de l’Édifice monde. C’est la révélation des lois physiques de l’Édifice monde. C’est l’accession à la Connaissance ultime. Le paradigme OmniScience.
A l’inverse, le paradigme Science continue de se complaire en présupposés et en axiomes non éprouvés tous domaines confondus : des sciences de la Vie et de la Terre (SVT), des Sciences de l’Univers (Astrophysique), des sciences de la Matière, des sciences de l’Énergie. L’intégralité de ces propositions sont affectés du « hiatus irrationalis ». Le résultat c’est que la Science enseigne un monde qui n’est pas le Monde réel, un monde qui n’est pas l’Édifice monde. Cet enseignement consiste en un florilège de croyances indémontrables. De là, cette affirmation « la Science ne sait pas ! » Effectivement, la Science ne sait pas comment l’Édifice Monde est né. La Science ne sait pas comment l’Édifice Monde fonctionne. La Science ne sait pas comment l’Édifice Monde évolue. La Science ne sait rien de l’Histoire de l’Édifice Monde.
La Science est en échec de par son refus permanent de prendre en compte les observations et les écrits nombreux qui décrédibilisent ses présupposés et axiomes. Au lieu de cela, elle perpétue les enseignements de ses croyances transformées en lois de la Nature.
Ces croyances enseignées sont toxiques, nocives pour les développements géopolitiques, industriels, technologiques, économiques, sanitaires. Par exemple la théorie du changement climatique par effet de serre provoqué par certains gaz présents, à tort, dans l’atmosphère terrestre. Cette théorie non démontrée et fausse surtout a néanmoins poussé les dirigeants politiques à prendre des dispositions de contraintes géopolitiques [l’Accord de Paris, le GIEC], à prendre des décisions industrielles et technologiques [Décarbonation de l’industrie, obligation de fabrication de véhicules électriques, arrêt de productions de véhicules à moteurs thermiques, et plus largement le non recours aux matières dites-fossiles pour les productions industrielles]. Autant de décisions économiques qui mobilisent des investissements extravagants au détriment des enjeux et besoins essentiels.
A l’opposée, l’OmniScience sait comment l’Edifice Monde est advenu, comment il fonctionne, comment il évolue. Ces connaissances seront enseignées à L’Université Omniscience. Cet enseignement de l’OmniScience sera sanctuarisé sur la plateforme physique Edifice Monde. Cette sanctuarisation est renforcée par la protection, au titre de la propriété intellectuelle, des créations de savoirs inédits et inventions de méthodes d’investigations nouvelles. Ainsi, les termes et expressions suivantes ont fait l’objet de dépôts de copyright : « OmniScience », « Mathématico-Physique », « Nouvelles Sciences », « Nouvelles mathématiques », « Nouvelles Physiques », « Energie thermo-moléculaire », « Energie par réactions chimiques », « Energie uranique ».
[1] « Les paramètres et le scénario de l’évènement Big Bang », [2] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution d’une Étoile », [3] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution d’une Planète », [4] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution du Temps », [5) « La naissance, le fonctionnement, l’évolution de l’Univers (l’Univers ne constitue pas le Monde mais une partie du monde comme le sont l’Etoile, la Planète, le Temps), [6] « Le Monde, l’Édifice monde, c’est le Cosmos, c’est le Ciel », [7] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de l’Espèce du Vivant planétaire », [8] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de l’Être du Vivant planétaire », [9] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de l’Être Humain terrien », [10] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de la Galaxie », [11] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de l’Atmosphère planétaire », [12] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de l’Eau planétaire », [13] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution des Continents planétaires », [14] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution du Climat planétaire », [15] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de la Matière », [16] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de l’Énergie », [17] « L’origine, le fonctionnement, l’évolution de la Gravité ».
Les films des histoires de l’Édifice monde, du Vivant, de l’Humain, de la Connaissance seront diffusés depuis la plateforme OmniScience Streaming.
L’OmniScience sera enseigné dans un établissement physique unique et sur une plateforme digitale universelle. OmniScience Université
Plateforme de streaming de diffusion des films des histoires de l’Édifice Monde, du Vivant, de l’Humain, de la Connaissance.
OmniScience Streaming – Site de diffusion des films du Fonctionnement et de l’Histoire de l’Édifice monde et du Vivant (du Big Bang à + 3 millions d’années), de l’Histoire de la Connaissance (de l’invention de l’Écriture à l’Omniscience).
Omniscience Muséum – Plateforme de collaborations pour les réalisations des démonstrateurs du fonctionnement de l’Édifice monde et du Vivant.
Réalisation d’un nouveau SIG terrestre dynamique, réalisation d’un SIG de l’Univers et du Temps au sein de l’Espace-Cosmos, création et mise en ligne de logiciels de calculs des paramètres historiques, physiques et dynamiques des étoiles et des planètes, logiciels de calculs d’orbites géostationnaires pour les satellites et les stations spatiales autour d’un astre quelconque, planète ou étoile. Réalisation des films de l’histoire de l’Édifice monde, du Vivant et de la Connaissance. Enseignement avec démonstrations expérimentales du fonctionnement physique du Soleil en particulier et des étoiles en général, idem pour la Terre en particulier et les planètes en général, démonstrations expérimentales du fonctionnent physique du vivant animal, végétal et humain… et bien d’autres développements, comme par exemple la présentation d’un prototype de construction d’une centrale de production d’électricité thermo-moléculaire ou thermochimique sans tour de refroidissement… Mise en production d’un tableur spécifique Art mathématique, tableur installé sur des PC de type KEYNUX.
Depuis la plateforme “Edifice Monde Campus”, et avec les concours de l’Omniscience, de l’Art mathématique, de la Mathématico-Physique, de l’intelligence artificielle, nous avons le pouvoir de créer un devenir meilleur. Le devenir de l’Humanité ne se réalisera pas ailleurs que sur Notre Planète bleue. Le Futur de l’Humanité ne se fabriquera pas à la Silicon Vallée. Technologie n’est pas Science et encore moins Connaissance ! Le moteur SQL de l’intelligence artificielle ne fait que synthétiser les données disponibles sur le Web. L’Omniscience n’y figure pas. Et n’y figurera jamais ! Et la Science dont les articles et les vidéos, dénuées de toute Connaissance véritable, pullulent, est seule pourvoyeuse en données. Effectivement, cette Science s’est montrée incapable de produire les équations fonctionnelles de chacun des objets physiques de notre Edifice Monde. Ces équations sont définies au sein de la matrice Mathématico-Physique.
L’image spectrale de l’Observatoire de Paris atteste d’un phénomène de ionisation moléculaire. Il n’y a pas que de l’hydrogène et de l’hélium. Lors de l’évocation du fonctionnement du Soleil en particulier et de l’étoile en général, j’expliquerai, en détail, la mécanique de ce fonctionnement. Le test de calcul, qui suit, atteste de cette mécanique.
Masse actuelle du Soleil (donnée plateforme Edifice monde Omniscience vallée) : 1 991 733 299 670 290 000 000 000 000 000 kg
Données de la Science : Température centrale > 15 000 000 k – Température en surface (énergie rayonnée) > 5 500 k
Énergie au centre : 298 392 300 310 137 000 000 000 000 000 000 000 000 J/s – > 4 156 204 451 k – Quatre milliards cent cinquante six millions de degrés. Nous sommes aux antipodes des quinze millions constatés. Max Planck s’est servi de cette équation pour définir l’énergie du Big Bang ainsi que la valeur du T-zéro. Cette paramétrique est absurde.
L’équation de Albert Einstein est inappropriée, elle s’appuie sur l’hypothèse du rayonnement par paquets de particules (des quantas) dénommées photon. Le quantum de quantas (la masse étalon) n’est pas précisé. Quand bien même l’était-elle, elle représenterait une masse étalon = 0 (zéro). En effet le photon est présenté comme une particule de masse 0 (zéro). Cette formule est incohérente. Ce résultat apporte la preuve que le Soleil ne fonctionne pas par fusion de particules qui s’entrechoquent. Le Soleil en particulier et les étoiles, en général, ne fonctionnement pas par fusion de particules. C’est la raison pour laquelle après des décennies d’exploitation de tokamaks de type ITER et des investissements pharaoniques la Science est toujours en échec.
Énergie au centre :<br>216 554 883 541 730 000 000 000 000 000 J/s
21 572 078.67 k –
Énergie à 4 km du centre : 15 253 763.11 k –
Énergie en surface (Énergie rayonnée) : 5 589.672 k
Ces valeurs sont celles constatées par la Science.
S’agissant de cette équation, le quantum de la masse étalon et la valeur de V figurent dans la littérature physique oubliée. L’équation de transfert de chaleur par convection figure dans la littérature physique oubliée. C’est la démonstration que le Soleil fonctionne par réactions thermo-moléculaires. Cette démonstration sera produite dès que je disposerai d’une chaire au sein de la plateforme Edifice monde Omniscience Valley.
Les résultats du test physico-mathématique de l’équation E=mc² atteste de l’invalidité des relativités restreinte et générale de Albert Einstein. Cette équation étant la synthèse. Par extension, tous les théorèmes qui découlent des relativités sont invalidés. A savoir : le modèle standard des particules, le modèle Big Bang standard, la nucléosynthèse primordiale, la matière noire, l’énergie noire, l’énergie du vide, les trous noirs, la relativité du temps, plus on voit loin plus on voit le passé, la déviation de la lumière ; et d’une manière générale, le concept d’astrophysique est un concept absurde. Il existe une seule physique, une physique universelle. Par exemple, la gravitation duale gouverne les mouvements des astres (étoiles et planètes) et organise l’agencement et l’harmonie du Cosmos ; gouverne les mouvements des molécules et organise la stratification des couches atmosphériques ; gouverne les mouvements des particules (proton et électrons), le quantum de proton caractérisant la nature chimique des éléments du tableau de Mendeleïev.
C’est l’avenir de notre humanité qui est en question. C’est le futur de notre monde qu’il faut appréhender. Sur ces sujets la Science, par les canaux de ses cohortes de spécialistes, ne propose que des hypothèses non démontrées, mais érigées en lois et des articles lacunaires en guise de thèses doctorales. Et pas une once de proposition certifiée “Vérité scientifique”.
C’est à cette future université, dans cette instance hors catégorie dans le classement Pisa, que vous apprendrez ce qu’est le Monde : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur. C’est dans cette instance que vous apprendrez ce qu’est le Vivant : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur (son devenir). C’est dans cette instance vous apprendrez ce qu’est la Connaissance : comment elle s’est construite depuis la création de l’écriture jusqu’à son aboutissement à l’Omniscience. C’est dans cette instance que seront proposées des solutions pérennes visant à résoudre les problématiques de l’énergie, de l’eau, des déchets (déchets nucléaires, déchets industriels, déchets domestiques), de reculs des traits de côtes, des infiltrations d’eau salée, des maladies inguérissables, des durées de vie individuelles (des moyens de l’accroitre).
Afghanistan, Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Allemagne, Andorre, Angola, Anguilla, Antarctique, Antigua-et-Barbuda, Antilles-néerlandaises, Arabie saoudite, Argentine, Arménie, Artsakh(Haut-Karabakh), Aruba, Australie, Autriche, Azerbaïdjan, Bahamas, Bahreïn, Bangladesh, Barbade, Bélarus(Biélorussie), Belgique, Belize, Bénin, Bermudes, Bhoutan, Bolivie, Bosnie-et-Herzégovine, Botswana, Brésil, Brunei, Bulgarie, Burkina-Faso, Burundi, Caïmans, Cambodge, Cameroun, Canada, Canaries, Cap-Vert, Chagos, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Comores, Congo, Cook, Corée du Nord, Corée du Sud, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Curaçao, Danemark, Djibouti, Dominique, Égypte, Émirats arabes unis, Équateur, Érythrée, Espagne, Estonie, Eswatini(Swaziland), États-Unis, Éthiopie, Féroé, Fidji, Finlande, France, Gabon, Gambie, Géorgie, Géorgie du Sud, Îles Sandwich du Sud, Gibraltar, Grèce, Grenade, Groenland, Guadeloupe, Guam, Guatemala, Guinée, Guinée Equatoriale, Guinée-Bissau, Guyana, Guyane, Haïti, Honduras, Hong Kong, Hongrie, Îles Anglo-Normandes-Jersey et Guernesey, Îles Vierges, des États-Unis, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Irlande, Islande, Israël, Italie, Jamaïque, Japon, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Kirghizistan, Kiribati, Kosovo, Koweït, Kurdistan, Laos, Lesotho, Lettonie, Liban, Libéria, Libye, Lituanie, Luxembourg, Macao, Macédoine du Nord, Madagascar, Madère, Malaisie, Malawi, Maldives, Mali, Malouines, Malte, Man, Mariannes, Maroc, Marshall, Martinique, Maurice, Mauritanie, Mayotte, Mexique, Micronésie, Moldavie, Monaco, Mongolie, Monténégro, Montserrat, Mozambique, Myanmar(Birmanie), Namibie, Nauru, Népal, Nicaragua, Niger, Nigéria, Nioué, Norfolk, Norvège, Nouvelle-Calédonie, Nouvelle-Zélande, Oman, Ossétie du Sud Alanie, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palaos, Palestine, Panama, Papouasie, Nouvelle Guinée, Paraguay, Pays-Bas, Pays Bascaribéens, Pérou, Philippines, Pitcairn, Pologne, Polynésie française, Porto Rico, Portugal, Pount, Qatar, République centrafricaine, République démocratique du Congo, République dominicaine, Réunion, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Rwanda, Sahara occidental, Saint-Barthélemy, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, Saint-Marin, Saint-Martin (France), Saint-Martin (Pays-Bas), Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Salomon, Salvador, Samoa, SamoaAméricaines, SaoTomé-et-Principe, Sénégal, Serbie, Seychelles, Sierra Leone, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Somalie, Somaliland, Soudan, Soudan du Sud, Sri Lanka, Suède, Suisse, Suriname, Syrie, Tadjikistan, Taïwan, Tanzanie, Tchad, Tchéquie, Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), Timor oriental, Togo, Tokelau, Tonga, Transnistrie, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Turkménistan, Turques-et-Caïques, Turquie, Tuva, Ukraine, Uruguay, Vanuatuu, Vatican, Venezuela, ViêtNam, Wallis-et-Futuna, Yémen, Zambie, Zimbabwé.
Pourquoi tout au long de l’histoire de l’humanité, l’homme s’est-il évertué à cannibaliser l’humain ? Cannibalisme social et sociétal. Cannibalisme culturel. Cannibalisme cultuel. Cannibalisme politique. Cannibalisme économique.
Toutes les peuplades terriennes, sans exception, tous continents confondus, ont eu à subir des affres génocidaires. Des massacres de masse perpétrés par des pharaons, par des envahisseurs, par des conquistadors, par des colonisateurs, par des empereurs, par des tyrans, par des dictateurs, par des révolutionnaires, par des croyants intégristes, par des identitaires sectaires, par des mafieux cupides. D’une manière générale, le poison de la cupidité semble déterminer les actions des hommes. C’est comme une fin en soi.
L’exemple le plus éminent est ce peuple de Judée qui s’est fait « génocider » à répétition. Aujourd’hui, les deux fratries de ce peuple martyr, descendants d’Israël et d’Ismaël, s’affrontent sur fond de cannibalisme cultuel en une lutte à mort pour la possession de Jérusalem. Un différent, semble-t-il, à propos d’une interprétation tragique d’un livre commun : la Bible. Cet affrontement ne se justifie pas. Les deux fratries devraient pouvoir se réconcilier et faire nation au sein d’un état unique avec Jérusalem pour capitale. Cela sera fait lorsque les illuminés de deux camps seront neutralisés.
L’être vivant doit se nourrir pour vivre et pour survivre. Pour vivre et pour survivre, le vivant doit se nourrir de vivants. L’être vivant, animal ou homme, doit tuer pour assouvir sa faim, pour assurer sa survie, la survie de son groupe et de son espèce. Mais au contraire de l’animal qui arrête de chasser dès sa faim assouvie, l’homme continue de tuer, même quand il n’a plus faim. Il tue par passion. Il exécute par plaisir. Il assassine par désir de suprématie. Il extermine par envie de toute-puissance.
Tout au long de l’histoire de l’humanité, les massacreurs, les oppresseurs, les envahisseurs ont été éjectés de cette histoire, les pieds devants. Ils ont été débarqués, soit par la révolte des opprimés, soit par la riposte des envahis, soit par l’action ultime de la Nature, empalés sur le glaive du Temps. A côté de cela, les populations victimes se sont toujours relevées et reconstituées. Le Temps aidant !
Si la prédiction de Platon en faveur d’une rédemption de la société humaine par la grâce de l’omniscience s’avérait juste, alors peut-être serait-il possible d’envisager que l’enseignement de l’Omniscience à tous les peuples terriens, permette de panser les plaies de l’histoire et des actualités, jusqu’à ambitionner, collectivement, un retour au Graal de l’Éden des origines ?
Si une guerre nucléaire devait survenir, le ou les pays déclencheurs subiront des effets de type Hiroshima ou Hiroshima ++++ détruisant leurs mégalopoles. Surtout si ces pays déclencheurs de conflits ne disposent pas de moyens fiables d’interception de missiles, ce qui est le cas, actuellement. Il y aura des populations décimées, des infrastructures et des villes rasées. Mais aucun effet irréversible sur la Nature.
A l’inverse les pays agressés qui sont très bien pourvus en moyens d’interception, pourront faire exploser les missiles en vol. Ces explosions en altitude ne provoqueront pas d’impact de type Hiroshima. Tout juste des effets de souffle en fonction de l’altitude, et puis, le champignon d’hydrogène résultant de l’explosion s’évanouira dans l’espace, sans aucune conséquence pour la Nature.
Sans compter qu’en raison des distorsions de distances, engendrées par les SIG en vigueur (erreurs de l’ordre de 1° à 2° de latitude et de 1° à 2° de longitude en moyenne), la plupart des missiles porteurs de bombes guidées par GPS finiront à la baille.
Il faudrait 9 960 000 impacts de bombes Hiroshima pour cribler l’ensemble des terres émergées d’impacts du type Hiroshima. Le stock total des pays détenteurs est seulement de 11 833. Quand bien même toutes ces bombes des arsenaux exploseraient de conserve, il y aurait quantité d’impacts locaux, mais dont l’effet sur la planète serait celui d’une nuée de bourdons asiatiques sur le cuir plâtré de boue d’un éléphant mâle solitaire.
Pour porter atteinte à la Planète, il faudrait des bombes détenant puissance de volcan. Cela est hors de portée de la capacité de la Science. Son ignorance de sa mécanique et sa fonction au sein d’une planète en général et de la Terre en particulier.
La première et principale raison, c’est d’avoir érigé en loi fondamentale le principe de symétrie ou principe de conservation. “On ne peut ni créer l’énergie ni la détruire ; on ne peut que la transformer en la faisant passer d’une forme à une autre. La conservation de l’énergie est l’une des lois fondamentales de la physique. La quantité de mouvement est aussi conservée. Le moment cinétique est une autre quantité qui est conservée. Ce sont là des relations mathématiques ayant trait à l’existence des symétries dans les équations qui décrivent la réalité”.
La seconde raison c’est de ne pas avoir créé les “instruments” de modélisation mathématique. Préférant investir dans des technologies aussi “foireuses” que coûteuses : les accélérateurs de particules, les supercalculateurs, les sondes spatiales, les observatoires astronomiques, les sondes spatiales du type WMAP, Planck, JUICE, les télescopes spatiaux comme Hubble et James Webb… Technologie n’est pas Science. Elle n’est pas créatrice de connaissance, fusse-elle consacrée intelligence artificielle. Il suffirait de demander à GPT4 de résoudre la théorie du tout.
La troisième raison c’est son enfermement sectaire dans le culte de l’athéisme. Son adhésion aux idéologies du hasard, du néant et du relativisme. Sa cécité aux réalités des physiques de l’Édifice monde et l’irréalisme qui caractérise le traitement des phénomènes de la Nature ! L’irrationalité et l’indétermination des mathématiques statistiques.
Empédocle (495 avant J-C – 435 avant J-C) est l’initiateur de ce principe de conservation. Il a théorisé ce principe en réponse à la question « Quelle est l’origine des choses ? » que les érudits grecs s’étaient engagés à résoudre afin d’établir la connaissance. En fait, cette question est la formulation initiale de la quête de la Théorie du Tout. Effectivement, selon les érudits grecs, connaître l’origine des choses devait permettre de tout connaître du monde. Afin d’élucider ce questionnement, Empédocle proposa le concept de « conservation ». Il théorisa un principe qui concilie la permanence des substances, (leur conservation) avec le changement perpétuel des apparences des choses au sein de l’Univers. Il stipula que la vérité, c’est-à-dire « la connaissance véritable » est assujettie aux formes simples qui se conservent. Ce qui veut dire qu’une proposition peut être qualifiée de « vérité scientifique » dès lors qu’elle fait état d’éléments qui demeurent inchangés au cours d’un processus de transformation. Empédocle énonça son concept comme suit : « Ce qui nous apparaît comme le commencement ou la fin d’un être n’est qu’une illusion ; en réalité, il n’y a rien que mélange, réunion de plusieurs substances. Les éléments dont toutes les choses sont composées consistent en quatre substances différentes incréées et impérissables. Ces quatre éléments, l’eau, la terre, le feu et l’air, sont donc les principes composant toutes choses.
Empédocle conclut son développement par cet axiome : « Rien ne naît de rien et rien ne retourne à rien. »
Antoine Lavoisier (18ième siècle) reformula l’axiome d’Empédocle de la manière suivante :
« Rien ne se perd et rien ne se crée, tout se transforme »
« L’énergie d’un photon peut se transformer en énergie de masse : par exemple, un photon peut donner naissance à deux électrons (l’un positif, l’autre négatif) de masse m, (à la condition que hv > 2 mc²). »
« Autre source de production d’énergie de masse : considérons par exemple le choc d’un proton en mouvement rapide, par conséquent très énergétique selon la terminologie courante, contre un autre proton, immobile celui-ci. D’une collision de cette espèce on voit souvent émerger, outre les protons initiaux, d’autres particules ayant des masses appréciables. Ce fait est prodigieusement instructif. En effet, à la vitesse près, les deux protons qui émergent se manifestent comme étant absolument identiques aux deux protons qui constituaient à eux seuls le système physique incident. Dans ces conditions, de la masse a nécessairement été créée, celle de toutes les autres particules, et par conséquent nous ne pouvons plus à la fois garder la masse comme mesure de la quantité et de continuer à dire que celle-ci est conservée. Mais outre, cet abandon du vieux principe de conservation de la matière, du principe de Lavoisier, n’est pas le seul que l’on doive faire. »
Cette expérience de l’énergie de masse consacre la non-conservation de la quantité de matière, la non conservation de la quantité d’énergie.
Cette expérience invalide le principe de conservation, et par conséquent le concept de symétrie.
Le document RADIOACTIVITE ENERGIE NUCLEAIRE de Gaston Dupuy – Presses Universitaires de France (1975) fait état des travaux conduits par Marie Curie sur la physique de la radioactivé naturelle. La radioactivité naturelle est un phénomène spontané, non influençable par les divers agents physiques connus : température, pression, densité. Phénomène inopérant dans le vide. Plus largement, aucun phénomène physique n’interagit avec le vide ni au sein du vide.
Marie et Joliot Curie mirent en évidence qu’au cours des désintégrations radioactives, « les corps simples ne se conservent pas ». Ils se transforment lentement les uns dans les autres. C’est ainsi que l’uranium ordinaire, de poids atomique 238, transmute de moitié en 4 650 millions d’années en uranium de poids atomique 234 ; cet uranium 234 se change à son tour en 270 000 ans en ionium ; l’ionium en 83 000 ans en radium ; le radium en 1 590 ans en radon ; le radon en 4 jours en radium A, et ainsi de suite, jusqu’au dernier maillon de la chaîne qui serait le plomb.
Ces transformations chimiques en cascade, ou « transmutations » qui aboutissent à des éléments non seulement de natures, mais surtout de masses différentes, attestent que la quantité de matière ne se conserve pas. Donc la Masse (la matière) ne se conserve pas. Dans la mesure ou M=E, alors l’énergie, également, ne se conserve pas.
La symétrie ne constitue donc pas une vérité scientifique.
La conservation ne constitue donc pas une vérité scientifique.
L’invalidation du concept de symétrie et donc du principe de conservation invalide la théorie de jauge. L’invalidation de la théorie de jauge, consacre l’invalidation du modèle standard des particules. L’invalidation du modèle standard consacre l’invalidation de la totalité du spectre physique de la science.
C’est le cas de l’astrophysique, des théories, théorèmes généraux et équations de la Mécanique céleste, de la théorie des planètes, du théorème du mouvement de centre de gravité, du théorème du moment cinétique, de la loi de Newton, des équations du problème de N corps, du mouvement elliptique, des unités astronomiques dans le système solaire, du théorème de Jacobi, des équations canoniques, de la théorie de Delaunay, des variables de Delaunay, de la théorie de Lagrange, des équations de Lagrange.
C’est le cas des sciences SVT.
C’est le cas des objets et des phénomènes déduits des équations différentielles comme le boson de Higgs, le trou noir, la matière noire, l’énergie du vide… Le modèle Big Bang standard.
C’est cas de la notion de gaz à effets de serre, etc. etc.
Lorsque la Science, par la voix du GIEC, prédit la « montée » des eaux marines à cause du réchauffement climatique qui engendre sa « dilatation ». C’est proprement ahurissant ! Comment les participants à cet organisme, qui sont censés être des physiciens pointus, ignorent-ils que la physique enseigne que l’eau fait partie des rares éléments qui ne se dilatent pas sous l’effet de la chaleur. L’image suivante le démontre. L’image qui suit montre que ce sont les bordures continentales qui s’enfoncent dans les profondeurs et qui sont causes des reculs des traits de côtes.
Sur le document iGn (France & Pologne), en question, nous avons des flèches de deux couleurs qui signalent les mouvements verticaux des terres émergées, continents et îles. Les flèches rouges indiquent une élévation d’altitude par rapport au niveau de la mer, et les flèches bleues démontrent une baisse d’altitude toujours par rapport au niveau de la mer. Les flèches bleues indiquent plus précisément que les bordures des continents et des îles (les marges continentales) s’enfoncent dans les profondeurs. Ce mouvement de plongée est dû à l’expansion des fonds marins qui est la traduction physique de l’expansion de la Terre. Les plaques océaniques repoussent les continents de part et d’autre des failles. En se refroidissant, ces plaques s’enfoncent en entrainant les bordures continentales. Les longueurs des flèches précisent les vitesses de ces mouvements verticaux. Quinternaire-CQADSG produira des documents, non pas avec des flèches, mais avec des nombres précis en millimètres.
Cette question sera abordée à l’occasion des cours relatif au fonctionnement des planètes et au donc au fonctionnement de la Terre.
Deux effets concomitants : édification de la structure du Temps. Squelette du Temps est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. (T), chaque strate est une sphère relative à une séquence du Temps – édification de l’architecture de l’Univers (U), Squelette de l’Univers est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. Chaque strate est une sphère relative à un étage de l’Univers.
Image résultant de la simulation de la propagation du Rayonnement thermo-électromagnétique du Big-Bang sur tableur à l’aide de fonctions spécifiques de l’Art mathématique.
La somme des séquences de temps donne l’âge exact de l’Édifice Monde. Chacune de ces séquences donne aussi, pour un objet stellaire quelconque, l’année de son émergence après Big Bang ainsi que son âge précis en années.
La somme de ces séquences donne l’Arborescence des Temps HistoSpatioGéologiques. Cette Arborescence des temps HistoSpatioGéologiques. Ce déploiement du temps depuis l’évènement Big Bang sur le véhicule rayonnement thermo-électromagnétique, absorbe l’échelle des temps géologiques ; de même que la totalité des chapitres historiques séquentiels qui relatent l’histoire et le devenir de l’Édifice Monde.
La dernière onde en cours de sphérification porte le numéro 12 278. Cette fermeture aura lieu dans 9 000 100 ans. Après la clôture de cette séquence l’Édifice monde sera âgé de 16 503 005 000 ans. L’Univers sera affublé de 12 278 étages.
Selon les attendus de l’Omniscience : pour répondre à ces deux formulations, il convient de résoudre cette double interrogation ? Le monde existe-t-il depuis toujours ? Ou bien est-il né ? A-t-il commencé ? L’évènement Big Bang apporte une réponse absolue à cette double interrogation. L’évènement Big Bang stipule un commencement, donc une naissance. Ce qui veut dire que notre monde résulte d’un acte de création. Qui en est l’auteur ?
Les esprits croyants parleront de création divine. Les esprits se disant athées parlerons de hasard et questionneront : « Si c’est Dieu, qui a créé Dieu ? »
A cette triple interpellation, l’Omniscience réplique : à la première, qu’il s’agit du miracle initial ; à la seconde, que le hasard n’est pas créateur et le hasard ne s’applique pas à une unité, le hasard est une loterie, il s’appliquera aux vivants, nous verrons comment ; et à la troisième, que Celui qui a pu créer ce monde exceptionnel détient assurément la capacité de s’auto-engendrer.
Finalement, ces questions sont veines. Car le monde existe, puisque nous sommes là. Le monde existe et il a commencé. Ce qu’il importe de savoir c’est comment ce monde s’est construit. Ce qui est certain, c’est que notre monde ne s’est pas construit par nucléosynthèse.
Ci-dessous la vue en coupe de l’Édifice Monde depuis un regard extérieur. Ce que le Créateur voit de l’Édifice Monde depuis la fenêtre de son Monde : le Monde du Verbe et des Archanges.