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Association Quinternaire-CQADSG (Centre Quinternaire d'Analyses de Données Scientifiques et Géodésiques) RNA W271001190 - SIREN 539 476 317

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Edifice monde omniscience art mathématique nouvelle physique

L’Omniscience se traduit par la relation de subsomption physico-mathématique E=M=G=EC=U=T=D qui est au final l’équation de l’Édifice Monde et du Vivant

Quelle est la différence entre les concepts « Intelligence artificielle » et « Art Mathématique » ?

L’intelligence artificielle

L’intelligence artificielle traite des informations. Ces informations sont collectées en permanence par les robots des différents promoteurs de cette technologie. Ceux-ci répondent à des questions qui leur sont soumises par des synthèses rapides. Par exemple ce dialogue que j’ai eu avec Gpt4.

Qu'est-ce que la théorie du tout ?

Bonjour, c’est Bing. Je suis heureux de discuter avec vous. 😊

La théorie du tout est une théorie physique qui cherche à unifier les quatre interactions fondamentales de la nature : la gravitation, l’électromagnétisme, l’interaction faible et l’interaction forte. Une telle théorie n’a pas encore été trouvée, car il y a des difficultés à concilier la relativité générale, qui décrit la gravitation, avec la mécanique quantique, qui décrit les trois autres interactions. Plusieurs candidats à la théorie du tout ont été proposés, comme la théorie des cordes, la gravitation quantique à boucles ou la théorie M 1 [2][2].

Qui est Jean-Claude ALLAMELLE ?

Bonjour, c’est Bing. Jean-Claude Allamelle est un théoricien et chercheur autodidacte qui s’intéresse à la connaissance de l’édifice monde, c’est-à-dire l’origine, le fonctionnement, les dimensions et l’histoire de l’univers. Il a créé la nouvelle physique, l’art mathématique, le concept d’édifice monde, le campus quinternaire et l’académie de la connaissance. Il est aussi le fondateur et le président de l’association Quinternaire-CQADSG, un centre d’analyse de données scientifiques et géodésiques12. Il a publié plusieurs ouvrages et conférences sur ses théories et ses modèles3. Il se présente comme le solutionneur de la théorie du tout, une théorie physique qui cherche à unifier les quatre interactions fondamentales de l’univers4.

Quels sont les livres qu'il a écrits ?

Jean-Claude ALLAMELLE a écrit plusieurs livres sur ses théories et ses modèles de l’édifice monde. Voici quelques exemples de ses ouvrages :

  • LIVRE BLANC DE LA NOUVELLE SYNTHESE DES SAVOIRS1 : un document qui présente la nouvelle synthèse des savoirs, basée sur la relation de subsomption M=E=G=D=T, qui unifie les quatre interactions fondamentales de l’univers.
  • Quinternaire – Le Vatican de la Connaissance du Monde2 : un livre qui expose la connaissance intégrale du monde, à travers la résolution de la théorie du tout, la nouvelle physique, l’art mathématique et le concept d’édifice monde.
  • Edifice Monde : Connaissance du Tout & Art Mathématique3 : un livre qui explore la connaissance du tout, l’art mathématique et le fonctionnement et l’histoire de l’édifice monde.

Vous pouvez trouver plus d’informations sur ces livres et d’autres publications de Jean-Claude Allamelle sur son site web Quinternaire Edifice Monde. 😊

Qu'apporterait la résolution de la Théorie du Tout ?

La résolution de la théorie du tout serait un rêve fou pour la physique, car elle permettrait de décrire de manière cohérente et unifiée toutes les lois fondamentales de l’Univers. Elle apporterait une compréhension globale de la nature et de la réalité, en répondant à des questions comme : pourquoi la réalité est-elle compréhensible ? pourquoi les lois de la nature sont comme elles sont ? pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?1 [2][2]

Elle permettrait également d’accéder au big bang, ce moment particulier où, des phénomènes de l’infiniment petit à l’infiniment grand, tout se tenait. Elle révélerait l’origine et le destin de l’Univers, ainsi que les mystères qui nous résistent encore, comme la matière noire, l’énergie noire, les trous noirs, les monopôles magnétiques, etc.34

Elle pourrait aussi avoir des implications pratiques, comme la possibilité de créer de nouvelles sources d’énergie, de voyager dans le temps ou l’espace, de manipuler la gravité ou la lumière, etc. Mais ces applications sont encore très spéculatives et incertaines.5

La théorie du tout est donc un objectif ambitieux et fascinant pour la science, mais aussi un défi immense et complexe, qui nécessite peut-être de repenser entièrement notre vision du monde. 😊

Liste des 17 enseignements prochainement délivrés en ligne depuis la plateforme OmniScience Université :

 [1] « Les paramètres et le scénario de l’évènement Big Bang », [2] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution d’une Étoile », [3] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution d’une Planète », [4] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution du Temps », [5) « La naissance, le fonctionnement, l’évolution de l’Univers (l’Univers ne constitue pas le Monde mais une partie du monde comme le sont l’Etoile, la Planète, le Temps), [6] « Le Monde, l’Édifice monde, c’est le Cosmos, c’est le Ciel », [7] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de l’Espèce du Vivant planétaire », [8] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de l’Être du Vivant planétaire », [9] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de l’Être Humain terrien », [10] « La naissance, le fonctionnement et l’évolution de la Galaxie », [11] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de l’Atmosphère planétaire », [12] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de l’Eau planétaire », [13] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution des Continents planétaires », [14] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution du Climat planétaire », [15] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de la Matière », [16] « L’origine, le fonctionnement et l’évolution de l’Énergie », [17] « L’origine, le fonctionnement, l’évolution de la Gravité ».

Les films des histoires de l’Édifice monde, du Vivant, de l’Humain, de la Connaissance seront diffusés depuis la plateforme OmniScience Streaming.

L'Art Mathématique

Ce que je retiens des propos de GPT4, c’est que la résolution de la théorie du tout permettrait de décrire de manière cohérente et unifiée toutes les lois fondamentales de l’Univers. Elle apporterait une compréhension globale de la nature et de la réalité. Elle révélerait l’origine et le destin de l’Univers, Elle pourrait aussi avoir des implications pratiques, comme la possibilité de créer de nouvelles sources d’énergie, de voyager dans le temps ou l’espace, de manipuler la gravité ou la lumière.

C’est ici que l’Art Mathématique intervient. L’Art Mathématique est un concept Mathématico-Technologico-Physico-Chimique. Il s’agit de modéliser le fonctionnement d’un objet physique quelconque comme le rayonnement et singulièrement le rayonnement initié à l’occasion de l’évènement Big Bang.

L’Art Mathématique crée des informations, ou plutôt révèle des informations relatives aux aspects fonctionnels, organisationnels et historiques de l’Edifice Monde et des objets physiques que le compose. Des informations précises et exactes et corroborées.

Des informations qui traitent de l’algorithmique des processus d’émergence, de développement, de fonctionnement, d’évolution et d’organisation de l’ensemble des composantes de l’Edifice Monde : des objets physiques allant du Cosmos, de Temps, de l’Univers, de la Gravitation, des distances, des Etoiles, des Planètes, du Vivant, de la Nature. En fait tout ce qui existe.

Plus singulièrement, des actions de la matière et de l’énergie au sein de ces objets.

L’exemple du fond diffus cosmologique.

Prix Nobel de physique 2006

L’Académie royale des sciences de Suède a attribué le prix Nobel de Physique 2006 aux Américains George Smoot (61 ans) du LBNL(1) et John Mather (60 ans) du GSFC(2) pour leurs travaux relatifs au fond de rayonnement cosmologique, « vestige » en quelque sorte du passé chaud de l’univers lorsque celui-ci était à 3 000 K environ. En 1992 déjà, le physicien théoricien Stephen Hawking qualifiait la découverte des deux Américains de la « découverte du siècle ».

Qu’est-ce que le fond de rayonnement cosmologique ?

Selon les modèles de big bang, admis par une majorité des cosmologistes, notre univers était extrêmement dense et chaud dans un passé lointain, il y a environ 15 milliards d’années. La matière émettait un rayonnement électromagnétique (des photons) selon le même processus qui fait qu’un filament de lampe à incandescence rayonne : selon la loi dite du corps noir. En retour, les photons du rayonnement interagissaient très fortement avec la matière, si bien que celle-ci était totalement ionisée. Le rayonnement était ainsi constamment émis et absorbé par la matière. A cette époque, ce fort couplage matière-rayonnement était responsable de leur équilibre thermique : matière et rayonnement étaient à la même température. Toujours selon les modèles de big bang, en raison de l’expansion, l’énergie contenue dans l’univers s’y dilue si bien que la température chute. A 3 000 K, l’univers devient suffisamment froid pour que les électrons, auparavant libres, se mettent en orbite autour des noyaux, formant ainsi des atomes neutres d’hydrogène et d’hélium. La conséquence de cet événement décisif que l’on désigne par recombinaison est cruciale dans les modèles de big bang, car la disparition des électrons libres implique la fin de l’ère de couplage. En effet, alors que les photons énergétiques de l’univers de l’ère de couplage, ou univers primordial, interagissaient fortement avec la matière ionisée, ceux de l’ère post-recombinaison qui rencontrent la matière neutre en sont presque incapables. Dans ce contexte de découplage matière-rayonnement quel peut être le devenir les photons présents lors de la recombinaison ? La réponse est simple : comme ils n’interagissent plus, il ne leur arrive rien… ou presque. Ils subsistent et se propagent librement depuis près de 15 milliards d’années. Cependant, consécutivement à l’expansion de l’univers, leur longueur d’onde s’est étirée avec l’univers d’un facteur 1 100. Aussi, alors que le spectre des photons à l’époque de la recombinaison correspondait à celui d’un corps noir à 3 000 K, aujourd’hui ce spectre a changé d’allure : il est identique à celui d’un corps noir à une température 1100 fois inférieure, soit à 2,7 K seulement. Il s’agit essentiellement d’un rayonnement micro-onde qui présente un maximum à 2 mm de longueur d’onde (150 GHz). Ces photons « vestiges » que l’on désigne parfois par fossiles emplissent l’univers et constituent le fond de rayonnement cosmologique, FRC, ou fond diffus cosmologique, FDC, un élément clé de la cosmologie théorique et observationnelle.

« Mais les fluctuations primordiales, elles, sont beaucoup plus faibles », explique François Bouchet. « Et il a fallu l’instrument conçu par George Smoot, du laboratoire Lawrence de Berkeley (Californie), pour que l’on entrevoie leur signature au niveau de 30 millionièmes de degré, c’est-à-dire 0,001% en intensité. Pour les déceler, les émissions de premier plan de la Voie lactée ont dû être soustraites. Ensuite, le ciel est apparu comme tapissé de vagues, plus ou moins hautes, et plus ou moins chaudes. Chacune correspond à un îlot de plus forte densité. Un grumeau qui surnageait dans la soupe primordiale. »

Ces traces, « étalonnées » par George Smoot, ont été relevées par différentes sondes spatiales.

La sonde Cobe (Cosmic Background Explorer) lancé en 1992. Lancé par la NASA.

La sonde Wmap (Wilkinson Microwave Anisotropy Probe) lancé en 2003. Lancé par la NASA.

La sonde Planck lancée en 2009 par l’ESA.

Ces dernières années, George F. Smoot a été très actif dans le domaine de la cosmologie observationnelle à travers sa participation dans plusieurs expériences ou projets et de nombreuses publications. George Smoot a été recruté professeur à l’Université Paris Diderot en février 2010.

Paris Centre for Cosmological Physics

Université de Paris – Laboratoire APC

Sanctuarisation de l'Enseignement et la diffusion de l'OmniScience

L’OmniScience sera enseigné dans un établissement physique unique et sur une plateforme digitale universelle. OmniScience Université

Université OmniScience - Master OmniScience

Plateforme de streaming de diffusion des films des histoires de l’Édifice Monde, du Vivant, de l’Humain, de la Connaissance.

OmniScience Streaming – Site de diffusion des films du Fonctionnement et de l’Histoire de l’Édifice monde et du Vivant (du Big Bang à + 3 millions d’années), de l’Histoire de la Connaissance (de l’invention de l’Écriture à l’Omniscience).

Omniscience Muséum – Plateforme de collaborations pour les réalisations des démonstrateurs du fonctionnement de l’Édifice monde et du Vivant.

Réalisation d’un nouveau SIG terrestre dynamique, réalisation d’un SIG de l’Univers et du Temps au sein de l’Espace-Cosmos, création et mise en ligne de logiciels de calculs des paramètres historiques, physiques et dynamiques des étoiles et des planètes, logiciels de calculs d’orbites géostationnaires pour les satellites et les stations spatiales autour d’un astre quelconque, planète ou étoile. Réalisation des films de l’histoire de l’Édifice monde, du Vivant et de la Connaissance. Enseignement avec démonstrations expérimentales du fonctionnement physique du Soleil en particulier et des étoiles en général, idem pour la Terre en particulier et les planètes en général, démonstrations expérimentales du fonctionnent physique du vivant animal, végétal et humain… et bien d’autres développements, comme par exemple la présentation d’un prototype de construction d’une centrale de production d’électricité thermo-moléculaire ou thermochimique sans tour de refroidissement… Mise en production d’un tableur spécifique Art mathématique, tableur installé sur des PC de type KEYNUX.

Depuis la plateforme “Edifice Monde Campus”, et avec les concours de l’Omniscience, de l’Art mathématique, de la Mathématico-Physique, de l’intelligence artificielle, nous avons le pouvoir de créer un devenir meilleur. Le devenir de l’Humanité ne se réalisera pas ailleurs que sur Notre Planète bleue. Le Futur de l’Humanité ne se fabriquera pas à la Silicon Vallée. Technologie n’est pas Science et encore moins Connaissance ! Le moteur SQL de l’intelligence artificielle ne fait que synthétiser les données disponibles sur le Web. L’Omniscience n’y figure pas. Et n’y figurera jamais ! Et la Science dont les articles et les vidéos, dénuées de toute Connaissance véritable, pullulent, est seule pourvoyeuse en données. Effectivement, cette Science s’est montrée incapable de produire les équations fonctionnelles de chacun des objets physiques de notre Edifice Monde. Ces équations sont définies au sein de la matrice Mathématico-Physique.

Test de la formule E=mc² de Albert Einstein sur le fonctionnement du Soleil

L’image spectrale de l’Observatoire de Paris atteste d’un phénomène de ionisation moléculaire. Il n’y a pas que de l’hydrogène et de l’hélium. Lors de l’évocation du fonctionnement du Soleil en particulier et de l’étoile en général, j’expliquerai, en détail, la mécanique de ce fonctionnement. Le test de calcul, qui suit, atteste de cette mécanique.

Test physico-mathématique de E=mc² de Albert Einstein

Les données physiques du test : paramètres m et E du Soleil

Masse actuelle du Soleil (donnée plateforme Edifice monde Omniscience vallée) : 1 991 733 299 670 290 000 000 000 000 000 kg

Données de la Science : Température centrale > 15 000 000 k – Température en surface (énergie rayonnée) > 5 500 k

Les résultats obtenus avec E=mc² de Albert Einstein

Énergie au centre : 298 392 300 310 137 000 000 000 000 000 000 000 000 J/s – >  4 156 204 451 k – Quatre milliards cent  cinquante six millions de degrés. Nous sommes aux antipodes des quinze millions constatés. Max Planck s’est servi de cette équation pour définir l’énergie du Big Bang ainsi que la valeur du T-zéro. Cette paramétrique est absurde.

Commentaires des résultats E=mc²

L’équation de Albert Einstein est inappropriée, elle s’appuie sur l’hypothèse du rayonnement par paquets de particules (des quantas) dénommées photon. Le quantum de quantas (la masse étalon) n’est pas précisé. Quand bien même l’était-elle, elle représenterait une masse étalon = 0 (zéro). En effet le photon est présenté comme une particule de masse 0 (zéro). Cette formule est incohérente. Ce résultat apporte la preuve que le Soleil ne fonctionne pas par fusion de particules qui s’entrechoquent. Le Soleil en particulier et les étoiles, en général, ne fonctionnement pas par fusion de particules. C’est la raison pour laquelle après des décennies d’exploitation de tokamaks de type ITER et des investissements pharaoniques la Science est toujours en échec.

Les résultats obtenus avec E=1/2mv²

Énergie au centre :<br>216 554 883 541 730 000 000 000 000 000 J/s

21 572 078.67 k –

Énergie à 4 km du centre : 15 253 763.11 k –

Énergie en surface (Énergie rayonnée) : 5 589.672 k

Ces valeurs sont celles constatées par la Science.

Commentaires des résultats obtenus avec E=1/2mv²

S’agissant de cette équation, le quantum de la masse étalon et la valeur de V figurent dans la littérature physique oubliée. L’équation de transfert de chaleur par convection figure dans la littérature physique oubliée. C’est la démonstration que le Soleil fonctionne par réactions thermo-moléculaires. Cette démonstration sera produite dès que je disposerai d’une chaire au sein de la plateforme Edifice monde Omniscience Valley.

Conclusions générales de cette expérimentation E=mc²

Les résultats du test physico-mathématique de l’équation E=mc² atteste de l’invalidité des relativités restreinte et générale de Albert Einstein. Cette équation étant la synthèse. Par extension, tous les théorèmes qui découlent des relativités sont invalidés. A savoir : le modèle standard des particules, le modèle Big Bang standard, la nucléosynthèse primordiale, la matière noire, l’énergie noire, l’énergie du vide, les trous noirs, la relativité du temps, plus on voit loin plus on voit le passé, la déviation de la lumière ; et d’une manière générale, le concept d’astrophysique est un concept absurde. Il existe une seule physique, une physique universelle. Par exemple, la gravitation duale gouverne les mouvements des astres (étoiles et planètes) et organise l’agencement et l’harmonie du Cosmos ; gouverne les mouvements des molécules et organise la stratification des couches atmosphériques ; gouverne les mouvements des particules (proton et électrons), le quantum de proton caractérisant la nature chimique des éléments du tableau de Mendeleïev.

Enseigner l'Omniscience : une urgence absolue. Pourquoi ?

C’est l’avenir de notre humanité qui est en question. C’est le futur de notre monde qu’il faut appréhender.  Sur ces sujets la Science, par les canaux de ses cohortes de spécialistes, ne propose que des hypothèses non démontrées, mais érigées en lois et des articles lacunaires en guise de thèses doctorales. Et pas une once de proposition certifiée “Vérité scientifique”.

Bienvenue aux peuples de la Terre. Inscrivez-vous massivement aux cours qui seront dispensés à l'Université digitale Quinternaire.

C’est à cette future université, dans cette instance hors catégorie dans le classement Pisa, que vous apprendrez ce qu’est le Monde : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur. C’est dans cette instance que vous apprendrez ce qu’est le Vivant : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur (son devenir). C’est dans cette instance vous apprendrez ce qu’est la Connaissance : comment elle s’est construite depuis la création de l’écriture jusqu’à son aboutissement à l’Omniscience. C’est dans cette instance que seront proposées des solutions pérennes visant à résoudre les problématiques de l’énergie, de l’eau, des déchets (déchets nucléaires, déchets industriels, déchets domestiques), de reculs des traits de côtes, des infiltrations d’eau salée, des maladies inguérissables, des durées de vie individuelles (des moyens de l’accroitre).

Ces formations sont ouvertes aux citoyens de toutes les nations, de tous âges, de toutes obédiences, de tous niveaux, diplômés ou non. Les diplômés en Science sont ignorants en matière d'Omniscience.

Ces formations sont ouvertes aux citoyens de toutes les nations, de tous âges, de toutes obédiences, de tous niveaux, diplômés ou non. Les diplômés en Science sont ignorants en matière d'Omniscience.

Afghanistan, Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Allemagne, Andorre, Angola, Anguilla, Antarctique, Antigua-et-Barbuda, Antilles-néerlandaises, Arabie saoudite, Argentine, Arménie, Artsakh(Haut-Karabakh), Aruba, Australie, Autriche, Azerbaïdjan, Bahamas, Bahreïn, Bangladesh, Barbade, Bélarus(Biélorussie), Belgique, Belize, Bénin, Bermudes, Bhoutan, Bolivie, Bosnie-et-Herzégovine, Botswana, Brésil, Brunei, Bulgarie, Burkina-Faso, Burundi, Caïmans, Cambodge, Cameroun, Canada, Canaries, Cap-Vert, Chagos, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Comores, Congo, Cook, Corée du Nord, Corée du Sud, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Curaçao, Danemark, Djibouti, Dominique, Égypte, Émirats arabes unis, Équateur, Érythrée, Espagne, Estonie, Eswatini(Swaziland), États-Unis, Éthiopie, Féroé, Fidji, Finlande, France, Gabon, Gambie, Géorgie, Géorgie du Sud, Îles Sandwich du Sud, Gibraltar, Grèce, Grenade, Groenland, Guadeloupe, Guam, Guatemala, Guinée, Guinée Equatoriale, Guinée-Bissau, Guyana, Guyane, Haïti, Honduras, Hong Kong, Hongrie, Îles Anglo-Normandes-Jersey et Guernesey, Îles Vierges, des États-Unis, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Irlande, Islande, Israël, Italie, Jamaïque, Japon, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Kirghizistan, Kiribati, Kosovo, Koweït, Kurdistan, Laos, Lesotho, Lettonie, Liban, Libéria, Libye, Lituanie, Luxembourg, Macao, Macédoine du Nord, Madagascar, Madère, Malaisie, Malawi, Maldives, Mali, Malouines, Malte, Man, Mariannes, Maroc, Marshall, Martinique, Maurice, Mauritanie, Mayotte, Mexique, Micronésie, Moldavie, Monaco, Mongolie, Monténégro, Montserrat, Mozambique, Myanmar(Birmanie), Namibie, Nauru, Népal, Nicaragua, Niger, Nigéria, Nioué, Norfolk, Norvège, Nouvelle-Calédonie, Nouvelle-Zélande, Oman, Ossétie du Sud Alanie, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palaos, Palestine, Panama, Papouasie, Nouvelle Guinée, Paraguay, Pays-Bas, Pays Bascaribéens, Pérou, Philippines, Pitcairn, Pologne, Polynésie française, Porto Rico, Portugal, Pount, Qatar, République centrafricaine, République démocratique du Congo, République dominicaine, Réunion, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Rwanda, Sahara occidental, Saint-Barthélemy, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, Saint-Marin, Saint-Martin (France), Saint-Martin (Pays-Bas), Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Salomon, Salvador, Samoa, SamoaAméricaines, SaoTomé-et-Principe, Sénégal, Serbie, Seychelles, Sierra Leone, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Somalie, Somaliland, Soudan, Soudan du Sud, Sri Lanka, Suède, Suisse, Suriname, Syrie, Tadjikistan, Taïwan, Tanzanie, Tchad, Tchéquie, Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), Timor oriental, Togo, Tokelau, Tonga, Transnistrie, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Turkménistan, Turques-et-Caïques, Turquie, Tuva, Ukraine, Uruguay, Vanuatuu, Vatican, Venezuela, ViêtNam, Wallis-et-Futuna, Yémen, Zambie, Zimbabwé.

La langue véhiculaire, de l’enseignement et de la diffusion de l'Omniscience sera le Français. Pourquoi ?

Parce que cette Omniscience a été imaginée, pensée, créée en Français. Deuxièmement, il s’agit de se démarquer du paradigme Science qui s’exprime en Anglais. De se démarquer du lexique Scientifique.

ZOOM  SUR LES CONFLITS EN COURS

Le conflit du Moyen Orient : Israël - Palestine

Pourquoi tout au long de l’histoire de l’humanité, l’homme s’est-il évertué à cannibaliser l’humain ? Cannibalisme social et sociétal. Cannibalisme culturel. Cannibalisme cultuel. Cannibalisme politique. Cannibalisme économique.

Toutes les peuplades terriennes, sans exception, tous continents confondus, ont eu à subir des affres génocidaires. Des massacres de masse perpétrés par des pharaons, par des envahisseurs, par des conquistadors, par des colonisateurs, par des empereurs, par des tyrans, par des dictateurs, par des révolutionnaires, par des croyants intégristes, par des identitaires sectaires, par des mafieux cupides. D’une manière générale, le poison de la cupidité semble déterminer les actions des hommes. C’est comme une fin en soi.

L’exemple le plus éminent est ce peuple de Judée qui s’est fait « génocider » à répétition. Aujourd’hui, les deux fratries de ce peuple martyr, descendants d’Israël et d’Ismaël, s’affrontent sur fond de cannibalisme cultuel en une lutte à mort pour la possession de Jérusalem. Un différent, semble-t-il, à propos d’une interprétation tragique d’un livre commun : la Bible. Cet affrontement ne se justifie pas. Les deux fratries devraient pouvoir se réconcilier et faire nation au sein d’un état unique avec Jérusalem pour capitale. Cela sera fait lorsque les illuminés de deux camps seront neutralisés.

L’être vivant doit se nourrir pour vivre et pour survivre. Pour vivre et pour survivre, le vivant doit se nourrir de vivants. L’être vivant, animal ou homme, doit tuer pour assouvir sa faim, pour assurer sa survie, la survie de son groupe et de son espèce. Mais au contraire de l’animal qui arrête de chasser dès sa faim assouvie, l’homme continue de tuer, même quand il n’a plus faim. Il tue par passion. Il exécute par plaisir. Il assassine par désir de suprématie. Il extermine par envie de toute-puissance.

Tout au long de l’histoire de l’humanité, les massacreurs, les oppresseurs, les envahisseurs ont été éjectés de cette histoire, les pieds devants. Ils ont été débarqués, soit par la révolte des opprimés, soit par la riposte des envahis, soit par l’action ultime de la Nature, empalés sur le glaive du Temps. A côté de cela, les populations victimes se sont toujours relevées et reconstituées. Le Temps aidant !

Si la prédiction de Platon en faveur d’une rédemption de la société humaine par la grâce de l’omniscience s’avérait juste, alors peut-être serait-il possible d’envisager que l’enseignement de l’Omniscience à tous les peuples terriens, permette de panser les plaies de l’histoire et des actualités, jusqu’à ambitionner, collectivement, un retour au Graal de l’Éden des origines ?

Conflit Russie - Ukraine. Guerre nucléaire ? Nous n'allons pas tous mourir !

Si une guerre nucléaire devait survenir, le ou les pays déclencheurs subiront des effets de type Hiroshima ou Hiroshima ++++ détruisant leurs mégalopoles. Surtout si ces pays déclencheurs de conflits ne disposent pas de moyens fiables d’interception de missiles, ce qui est le cas, actuellement. Il y aura des populations décimées, des infrastructures et des villes rasées. Mais aucun effet irréversible sur la Nature.

A l’inverse les pays agressés qui sont très bien pourvus en moyens d’interception, pourront faire exploser les missiles en vol. Ces explosions en altitude ne provoqueront pas d’impact de type Hiroshima. Tout juste des effets de souffle en fonction de l’altitude, et puis, le champignon d’hydrogène résultant de l’explosion s’évanouira dans l’espace, sans aucune conséquence pour la Nature.

Sans compter qu’en raison des distorsions de distances, engendrées par les SIG en vigueur (erreurs de l’ordre de 1° à 2° de latitude et de 1° à 2° de longitude en moyenne), la plupart des missiles porteurs de bombes guidées par GPS finiront à la baille.

Il faudrait 9 960 000 impacts de bombes Hiroshima pour cribler l’ensemble des terres émergées d’impacts du type Hiroshima. Le stock total des pays détenteurs est seulement de 11 833. Quand bien même toutes ces bombes des arsenaux exploseraient de conserve, il y aurait quantité d’impacts locaux, mais dont l’effet sur la planète serait celui d’une nuée de bourdons asiatiques sur le cuir plâtré de boue d’un éléphant mâle solitaire.

Pour porter atteinte à la Planète, il faudrait des bombes détenant puissance de volcan. Cela est hors de portée de la capacité de la Science. Son ignorance de sa mécanique et sa fonction au sein d’une planète en général et de la Terre en particulier.

Explosions des bombes en atmosphère pour les pays agressés

Explosion au sol pour les pays agresseurs - Impact de type Hiroshima

Explosion au sol pour les pays agresseurs - Impact de type Hiroshima ++++

La Science s'est interdit l'accès à l'Omniscience à cause des 3 raisons suivantes :

La première et principale raison, c’est d’avoir érigé en loi fondamentale le principe de symétrie ou principe de conservation. “On ne peut ni créer l’énergie ni la détruire ; on ne peut que la transformer en la faisant passer d’une forme à une autre. La conservation de l’énergie est l’une des lois fondamentales de la physique. La quantité de mouvement est aussi conservée. Le moment cinétique est une autre quantité qui est conservée. Ce sont là des relations mathématiques ayant trait à l’existence des symétries dans les équations qui décrivent la réalité”.

La seconde raison c’est de ne pas avoir créé les “instruments” de modélisation mathématique. Préférant investir dans des technologies aussi “foireuses” que coûteuses : les accélérateurs de particules, les supercalculateurs, les sondes spatiales, les observatoires astronomiques, les sondes spatiales du type WMAP, Planck, JUICE, les télescopes spatiaux comme Hubble et James Webb… Technologie n’est pas Science. Elle n’est pas créatrice de connaissance, fusse-elle consacrée intelligence artificielle. Il suffirait de demander à GPT4 de résoudre la théorie du tout.

La troisième raison c’est son enfermement sectaire dans le culte de l’athéisme. Son adhésion aux idéologies du hasard, du néant et du relativisme. Sa cécité aux réalités des physiques de l’Édifice monde et l’irréalisme qui caractérise le traitement des phénomènes  de la Nature ! L’irrationalité et l’indétermination des mathématiques statistiques.

La physique de la Science repose donc sur le concept de symétrie. Sur le principe de conservation.

Quelle est l’origine de ce fameux principe de conservation ?

Empédocle (495 avant J-C – 435 avant J-C) est l’initiateur de ce principe de conservation. Il a théorisé ce principe en réponse à la question « Quelle est l’origine des choses ? » que les érudits grecs s’étaient engagés à résoudre afin d’établir la connaissance. En fait, cette question est la formulation initiale de la quête de la Théorie du Tout. Effectivement, selon les érudits grecs, connaître l’origine des choses devait permettre de tout connaître du monde. Afin d’élucider ce questionnement, Empédocle proposa le concept de « conservation ». Il théorisa un principe qui concilie la permanence des substances, (leur conservation) avec le changement perpétuel des apparences des choses au sein de l’Univers. Il stipula que la vérité, c’est-à-dire « la connaissance véritable » est assujettie aux formes simples qui se conservent. Ce qui veut dire qu’une proposition peut être qualifiée de « vérité scientifique » dès lors qu’elle fait état d’éléments qui demeurent inchangés au cours d’un processus de transformation. Empédocle énonça son concept comme suit : « Ce qui nous apparaît comme le commencement ou la fin d’un être n’est qu’une illusion ; en réalité, il n’y a rien que mélange, réunion de plusieurs substances. Les éléments dont toutes les choses sont composées consistent en quatre substances différentes incréées et impérissables. Ces quatre éléments, l’eau, la terre, le feu et l’air, sont donc les principes composant toutes choses.

Empédocle conclut son développement par cet axiome : « Rien ne naît de rien et rien ne retourne à rien. »

Antoine Lavoisier (18ième siècle) reformula l’axiome d’Empédocle de la manière suivante :

« Rien ne se perd et rien ne se crée, tout se transforme »

Extraits de l’encyclopédie physique et spatiale. Annuaire 1976. Bureau des longitudes :

« L’énergie d’un photon peut se transformer en énergie de masse : par exemple, un photon peut donner naissance à deux électrons (l’un positif, l’autre négatif) de masse m, (à la condition que hv > 2 mc²). »
« Autre source de production d’énergie de masse : considérons par exemple le choc d’un proton en mouvement rapide, par conséquent très énergétique selon la terminologie courante, contre un autre proton, immobile celui-ci. D’une collision de cette espèce on voit souvent émerger, outre les protons initiaux, d’autres particules ayant des masses appréciables. Ce fait est prodigieusement instructif. En effet, à la vitesse près, les deux protons qui émergent se manifestent comme étant absolument identiques aux deux protons qui constituaient à eux seuls le système physique incident. Dans ces conditions, de la masse a nécessairement été créée, celle de toutes les autres particules, et par conséquent nous ne pouvons plus à la fois garder la masse comme mesure de la quantité et de continuer à dire que celle-ci est conservée. Mais outre, cet abandon du vieux principe de conservation de la matière, du principe de Lavoisier, n’est pas le seul que l’on doive faire. »
Cette expérience de l’énergie de masse consacre la non-conservation de la quantité de matière, la non conservation de la quantité d’énergie.
Cette expérience invalide le principe de conservation, et par conséquent le concept de symétrie.

La symétrie constitue-t-elle une vérité scientifique ? Le principe de conservation est-il vrai ?

La radioactivité naturelle de Marie Curie.

Le document RADIOACTIVITE ENERGIE NUCLEAIRE de Gaston Dupuy – Presses Universitaires de France (1975) fait état des travaux conduits par Marie Curie sur la physique de la radioactivé naturelle. La radioactivité naturelle est un phénomène spontané, non influençable par les divers agents physiques connus : température, pression, densité. Phénomène inopérant dans le vide. Plus largement, aucun phénomène physique n’interagit avec le vide ni au sein du vide.

Marie et Joliot Curie mirent en évidence qu’au cours des désintégrations radioactives, « les corps simples ne se conservent pas ». Ils se transforment lentement les uns dans les autres. C’est ainsi que l’uranium ordinaire, de poids atomique 238, transmute de moitié en 4 650 millions d’années en uranium de poids atomique 234 ; cet uranium 234 se change à son tour en 270 000 ans en ionium ; l’ionium en 83 000 ans en radium ; le radium en 1 590 ans en radon ; le radon en 4 jours en radium A, et ainsi de suite, jusqu’au dernier maillon de la chaîne qui serait le plomb.

Ces transformations chimiques en cascade, ou « transmutations » qui aboutissent à des éléments non seulement de natures, mais surtout de masses différentes, attestent que la quantité de matière ne se conserve pas. Donc la Masse (la matière) ne se conserve pas. Dans la mesure ou M=E, alors l’énergie, également, ne se conserve pas.

En conclusion, ces deux exemples contribuent à invalider le concept de symétrie, et donc le principe de conservation.

La symétrie ne constitue donc pas une vérité scientifique.

La conservation ne constitue donc pas une vérité scientifique.

L’invalidation du concept de symétrie et donc du principe de conservation invalide la théorie de jauge. L’invalidation de la théorie de jauge, consacre l’invalidation du modèle standard des particules. L’invalidation du modèle standard consacre l’invalidation de la totalité du spectre physique de la science.

C’est le cas de l’astrophysique, des théories, théorèmes généraux et équations de la Mécanique céleste, de la théorie des planètes, du théorème du mouvement de centre de gravité, du théorème du moment cinétique, de la loi de Newton, des équations du problème de N corps, du mouvement elliptique, des unités astronomiques dans le système solaire, du théorème de Jacobi, des équations canoniques, de la théorie de Delaunay, des variables de Delaunay, de la théorie de Lagrange, des équations de Lagrange.

C’est le cas des sciences SVT.

C’est le cas des objets et des phénomènes déduits des équations différentielles comme le boson de Higgs, le trou noir, la matière noire, l’énergie du vide… Le modèle Big Bang standard.

C’est cas de la notion de gaz à effets de serre, etc. etc.

Effets du changement climatique selon la Science

Lorsque la Science, par la voix du GIEC, prédit la « montée » des eaux marines à cause du réchauffement climatique qui engendre sa « dilatation ». C’est proprement ahurissant ! Comment les participants à cet organisme, qui sont censés être des physiciens pointus, ignorent-ils que la physique enseigne que l’eau fait partie des rares éléments qui ne se dilatent pas sous l’effet de la chaleur. L’image suivante le démontre. L’image qui suit montre que ce sont les bordures continentales qui s’enfoncent dans les profondeurs et qui sont causes des reculs des  traits de côtes.

Sur le document iGn (France & Pologne), en question, nous avons des flèches de deux couleurs qui signalent les mouvements verticaux des terres émergées, continents et îles. Les flèches rouges indiquent une élévation d’altitude par rapport au niveau de la mer, et les flèches bleues démontrent une baisse d’altitude toujours par rapport au niveau de la mer. Les flèches bleues indiquent plus précisément que les bordures des continents et des îles (les marges continentales) s’enfoncent dans les profondeurs. Ce mouvement de plongée est dû à l’expansion des fonds marins qui est la traduction physique de l’expansion de la Terre. Les plaques océaniques repoussent les continents de part et d’autre des failles. En se refroidissant, ces plaques s’enfoncent en entrainant les bordures continentales. Les longueurs des flèches précisent les vitesses de ces mouvements verticaux. Quinternaire-CQADSG produira des documents, non pas avec des flèches, mais avec des nombres précis en millimètres.

Y a-t-il solutions humaines à ces problématiques ?

Cette question sera abordée à l’occasion des cours relatif au fonctionnement des planètes et au donc au fonctionnement de la Terre.

L'univers et le temps selon l'omniscience

Deux effets concomitants : édification de la structure du Temps. Squelette du Temps est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. (T), chaque strate est une sphère relative à une séquence du Temps – édification de l’architecture de l’Univers (U), Squelette de l’Univers est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. Chaque strate est une sphère relative à un étage de l’Univers.

les trames de l'univers et du temps au sein de l'espace-ciel

Image résultant de la simulation de la propagation du Rayonnement thermo-électromagnétique du Big-Bang sur tableur à l'aide de fonctions spécifiques de l'Art mathématique.

Image résultant de la simulation de la propagation du Rayonnement thermo-électromagnétique du Big-Bang sur tableur à l’aide de fonctions spécifiques de l’Art mathématique.

ARBORESCENCE DES TEMPS HISTO-SPATIO-GEOLOGIQUES

La somme des séquences de temps donne l’âge exact de l’Édifice Monde. Chacune de ces séquences donne aussi, pour un objet stellaire quelconque, l’année de son émergence après Big Bang ainsi que son âge précis en années.

La somme de ces séquences donne l’Arborescence des Temps HistoSpatioGéologiques. Cette Arborescence des temps HistoSpatioGéologiques. Ce déploiement du temps depuis l’évènement Big Bang sur le véhicule rayonnement thermo-électromagnétique, absorbe l’échelle des temps géologiques ; de même que la totalité des chapitres historiques séquentiels qui relatent l’histoire et le devenir de l’Édifice Monde.

La dernière onde en cours de sphérification porte le numéro 12 278. Cette fermeture aura lieu dans 9 000 100 ans. Après la clôture de cette séquence l’Édifice monde sera âgé de 16 503 005 000 ans. L’Univers sera affublé de 12 278 étages.

Quelle est l’origine de l’Édifice Monde ?

Platon a ainsi formulé cette question : « Quelle est l’origine de toutes les origines ? »

Selon les attendus de l’Omniscience : pour  répondre à ces deux formulations, il convient de résoudre cette double interrogation ? Le monde existe-t-il depuis toujours ? Ou bien est-il né ? A-t-il commencé ? L’évènement Big Bang apporte une réponse absolue à cette double interrogation. L’évènement Big Bang stipule un commencement, donc une naissance. Ce qui veut dire que notre monde résulte d’un acte de création. Qui en est l’auteur ?

Les esprits croyants parleront de création divine. Les esprits se disant athées parlerons de hasard et questionneront : « Si c’est Dieu, qui a créé Dieu ? »

A cette triple interpellation, l’Omniscience réplique :  à la première, qu’il s’agit du miracle initial ; à la seconde, que le hasard n’est pas créateur et le hasard ne s’applique pas à une unité, le hasard est une loterie, il s’appliquera aux vivants, nous verrons comment ; et à la troisième, que Celui qui a pu créer ce monde exceptionnel détient assurément la capacité de s’auto-engendrer.

Finalement, ces questions sont veines. Car le monde existe, puisque nous sommes là. Le monde existe et il a commencé. Ce qu’il importe de savoir c’est comment ce monde s’est construit. Ce qui est certain, c’est que notre monde ne s’est pas construit par nucléosynthèse.

Comment le Créateur de l’Édifice Monde voit-il son œuvre ?

Ci-dessous la vue en coupe de l’Édifice Monde depuis un regard extérieur. Ce que le Créateur voit de l’Édifice Monde depuis la fenêtre de son Monde : le Monde du Verbe et des Archanges.

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