Que savons-nous de la Terre ? Que savons-nous de son évolution, de son fonctionnement, de sa constitution ?

Que savons-nous de la Terre ? Rien ou quasiment rien ! Que savons-nous de son évolution ? Rien ou quasiment rien ! Que savons-nous de son fonctionnement ? Rien ou quasiment rien ! Que savons-nous de sa constitution ? Rien ou quasiment rien !

Nous ne savons rien ou quasiment rien de la Terre, parce que les sciences dites « généralement admises », qui sont chargées d’expliquer ce qu’elle est en temps qu’objet physique de la Nature, se résument à un florilège d’hypothèses abstruses. Abstruses, car enferrées dans un modèle conceptuel absolument bancal : le paradigme de symétrie. Ce modèle farci de croyances a fait prospérer l’ignorance autour de cet axiome des plus archaïques : « La Terre est finie ! »

En décrétant que la Terre est finie, le paradigme de symétrie a institutionnalisé la croyance d’une planète qui ne change pas ; il a imposé la théorie d’une Terre qui n’évolue pas ! Dans ces conditions, la question de son évolution est saugrenue, la question de son fonctionnement est incongrue, la question de sa constitution est farfelue. Dès lors, il ne faut point s’étonner que la Terre ne soit pas considérée jusqu’ici comme un objet digne d’une curiosité scientifique aiguë.

Dans l’acception d’une Terre finie, il y a l’idée sous-jacente de son incapacité à garantir indéfiniment le futur de la vie. Les terriens qui sont de plus en plus nombreux à souscrire à cette approche, se complaisent à croire l’humanité future condamnée à pratiquer l’errance stellaire pour survivre à la Terre et, plus prosaïquement, pour éviter de subir, à terme, le sort des habitants de l’Ile de Pâques. Effectivement, en consommateurs boulimiques qu’ils sont, les terriens ont assimilé la planète bleue à une caverne d’Ali Baba bardée de richesses à dilapider.

Mais en fait, la Terre est-elle véritablement finie ? Les réponses argumentées et expérimentées, apportées à cette assertion, permettront soit de la conforter, soit de l’invalider. La solution asymétrique de la Terre apportera ces réponses dans ce document.