L’équation de l’Édifice Monde et du Vivant – La relation de subsomption physico-mathématique E=M=G=EC=U=T=D
L’équation de l’Édifice Monde et du Vivant est une équation de l’Omniscience. C’est une relation de subsomption physico-mathématique. Cette relation a été élaborée, fabriquée par les mathématiques de l’Art mathématique (la géométrie et l’arithmétique). Cette mathématique particulière a mis de côté le calcul infinitésimal et ses composantes que sont l’intégration ou calcul intégral et le calcul différentiel. Exit également l’algèbre qui a permis d’élaborer le calcul infinitésimal. L’art mathématique se fonde sur la physico-mathématique, c’est-à-dire sur l’association des réalités des physiques de l’énergie (E), de la matière (M) et de la Sphère. Les objets physiques de l’Édifice monde et de la Nature détiennent forme et physique de Sphère. L’Art mathématique s’exerce, se pratique par calculs numériques sur tableurs. Le tableur est, en quelque sorte, l’instrument qui permet de jouer la physico-mathématique. Pratique qui a permis d’élaborer, de créer les équations de la relation E=M=G=EC=U=T=D qui constitue l’équation de l’Édifice monde et du Vivant. Et qui est présentée dans l’image ci-dessous. Il n’est pas nécessaire de disposer d’un supercalculateur pour faire tourner ces équations en batterie. J’utilise un ordinateur ACER de 8 GB de mémoire vive. Et c’est optimum.
On entend par calculs numériques un ensemble de calculs qui sont réalisés sur un système informatique, encore appelé système numérique ou ordinateur. Les calculs numériques sont destinés à simuler des phénomènes naturels. Ces simulations étant destinées à réaliser des modèles mathématiques qui sont autant de traductions d’observations ou de modalités fonctionnelles des objets physiques étudiés. Ces modèles permettent de produire des prédictions exactes. Ces modèles permettent aussi de reproduire à échelle humaine les phénomènes modélisés. Les modèles mathématiques réalisés par la pratique de l’Art mathématique se rapportent aux objets physiques suivants (liste non exhaustive) : le rayonnement du Big Bang, le Temps, la Topologie de l’Univers, le fonctionnement de la Gravité, le fonctionnement du Soleil (d’une étoile), le fonctionnement de la Terre (d’une planète), le fonctionnement de l’Atmosphère planétaire, le fonctionnement du Climat planétaire, le fonctionnement du Corps humain.
L’Omniscience, c’est donc le Graal de la Connaissance. D’avoir atteint l’entièreté de la Connaissance, revient à être parvenu à clôturer l’ère de la recherche sans fin. Maintenant, il s’agit de mettre en pratique les solutions découvertes par l’Art mathématique. Il est possible de produire, à l’échelle humaine, ce que la Nature produit. Par exemple la Science a cherché à produire de l’énergie par fusion nucléaire, en copiant ce qu’elle pense être le fonctionnement du Soleil. Après avoir investi des centaines de milliards et des dizaines d’années dans des tokamaks de type “Iter”, ces efforts gigantesques furent vains. C’est la preuve que le fonctionnement d’une étoile ne procède pas de la fusion de protons. Cela veut dire que la Science s’est plantée sur ce sujet comme sur tant d’autres relevant des spécialités dites scientifiques. Science ne rime donc pas avec Connaissance ! Les solutions de l’Omniscience permettront de produire, entre autres, cette énergie solaire à l’échelle humaine. Mais également des phénomènes de type atmosphérique, de type volcanique, de type géologique (anatexie). Toutes ces réalisations ont fait l’objet de dépôts de copyrights qui seront transformés en brevets. Il suffira de découvrir les enseignements de l’Omniscience, d’une part, et de réaliser les structures instruites par les brevets spécifiques du CQADSG. Ces brevets sont multiples et concernent l’ensemble des objets de l’Édifice monde et de la Nature.
Depuis la plateforme “Edifice monde Omniscience Valley”, et avec le concours de l’Omniscience, nous avons le pouvoir de créer notre Futur. Le Futur de l’Humanité ne se réalisera pas ailleurs que sur Notre Planète. Le Futur de l’Humanité ne se fabriquera pas à la Silicon Vallée. Technologie n’est pas Science et encore moins Connaissance ! Le moteur SQL de l’intelligence artificielle ne fait que synthétiser les données disponibles dans le Web. L’Omniscience n’y figure pas. Et n’y figurera jamais ! Et la Science dont les articles et les vidéos, dénuées de toute Connaissance véritable, pullulent, est seule pourvoyeuse en données. Effectivement, cette Science s’est montrée incapable de produire les équations fonctionnelles de chacun des objets physiques de notre Edifice Monde. Ces équations sont définies dans la matrice physico-mathématique, ci-dessus.
La résolution de la Théorie du Tout, c’est la révélation de la Connaissance du Tout. C’est l’avènement d’un nouveau paradigme de la Connaissance. C’est l’avènement de la Connaissance globale. C’est l’avènement de l’Omniscience ! La Connaissance globale ou Omniscience, c’est l’élucidation du Fonctionnement physico-mathématique de l’édifice Monde et du Vivant par l’équation de l’Édifice monde et du Vivant (E=M=G=EC=U=T=D). La Construction de l’Édifice monde et du Vivant se déduit du Fonctionnement. L’Histoire de l’Édifice Monde et du Vivant se déduit de la Construction. Cette Histoire est à la fois physico-mathématique et religieuse.
La Connaissance globale ou Omniscience se fonde sur la mise en égalité des 7 Entités Physiques Matricielles E,M,G,EC,U,T,D (EPM) de la Nouvelle Physique de l’Omniscience par les équations de la relation E=M=G=EC=U=T=D de l’Art mathématique. Les 7 EPM régissent la Genèse, le Fonctionnement, l’Évolution (le Devenir) des composantes de l’Édifice Monde et du Vivant. Elles font naître, fonctionner, circuler, évoluer les Étoiles, les Planètes, les Galaxies, les Espèces, les Individus, les Phénomènes de la Nature : l’Eau, l’Atmosphère, les Continents, les Reliefs, les Climats, les Nuages, les Précipitations, les Ouragans. En fait, la totalité des manifestations physiques. Ces 7 EPM ont jailli simultanément : 7 rétroactions positives en 7 séquences de 1 millième de seconde.
L’Omniscience ou Connaissance Globale ne peut pas être diffusée par les canaux scientifiques qui s’y opposent par principe, au nom de la préservation de leurs intérêts et privilèges de pontes de la Science. Car la différence entre Science et Science Globale ou Omniscience c’est le rapport à la Vérité scientifique. Les théories et enseignements de la Science ne sont pas démontrables et donc pas vérifiables. C’est, à proprement parler, de l’inconnaissance. A l’inverse, les propositions de la Science Globale ou Omniscience sont démontrées et vérifiées. Les présentations de l’Omniscience se feront par démonstrations mathématiques et vérifications physiques, autrement dit par la physico-mathématique, et plus précisément par les équations de la relation E=M=G=EC=U=T=D. Je formule le désir d’un accueil par un établissement universitaire public ou privé, quelque soit la nationalité, ou confessionnel (l’ICP par exemple), par l’attribution d’une chaire me permettant de présenter et d’enseigner les résultats d’une quête solitaire des vérités scientifiques qui a durée quarante années. Si cette demande demeurait sans réponse, je me résoudrais à créer l’Université digitale “Édifice monde Omniscience”, et proposer du présentiel dans les murs d’une institution religieuse. Après tout, l’Histoire de l’Édifice monde et du Vivant est à la fois physico-mathématique et religieuse.
En matière d’enseignements, chaque sujet doit donner lieu à un traitement physico-mathématique, à savoir une démonstration mathématique avec apport de preuves physiques incontestables.
En matière d’Histoire, chaque événement doit répondre sans détours à ces six injonctions : Quand ? – Où ? – Qui ? – Quoi ? – Pourquoi ? – Comment ? En matières scientifique et historique, imprécisions et approximations, hypothèses et probabilités sont dénuées de crédibilité par défaut de vérité et constituent donc des fautes disqualifiantes.
L’Art mathématique s’apparente à un art musical qui dispose de son propre solfège, dont les fonctions sont des notes et les équations sont des accords. Le tableur est l’instrument qui permet de jouer la musique de l’Art mathématique.
Le tableur Excel sera utilisé seulement pour la possibilité d’opérer des calculs sur des colonnes multiples et de tirer les cellules sur des milliers de lignes.
Les fonctions tableurs Excel ou de tout autre tableur, ne se sont pas utilisées, elles sont impropres à l’Art mathématique qui utilise ses multiples et propres fonctions. Fonctions qui, par ailleurs, sont mises en équations par des formules spécifiques élaborées avec la méthodologie Art mathématique.
Réalisation d’un SIG terrestre dynamique, réalisation d’un SIG de l’Univers et du Temps au sein de l’Espace-Ciel, création et mise en ligne de logiciels de calculs des paramètres historiques, physiques et dynamiques des étoiles et des planètes, logiciels de calculs d’orbites géostationnaires pour les satellites et les stations spatiales autour d’un astre quelconque planète ou étoile. Réalisation des films de l’histoire de l’Édifice monde et du Vivant. Enseignement avec démonstrations expérimentales du fonctionnement physique du Soleil en particulier et des étoiles en général, idem pour la Terre en particulier et les planètes en général, démonstrations expérimentales du fonctionnent physique du vivant animal, végétal et humain… et bien d’autres développements, comme par exemple la présentions-réalisation d’un prototype de construction d’une centrale de production d’électricité themomoléculaire ou thermochimique sans tour de refroidissement… Mise en production d’un tableur spécifique Art mathématique, c’est réaliser l’intelligence mathématique qui est une intelligence créatrice de connaissance, ce qui n’est pas le cas de l’intelligence artificielle
C’est ici, et seulement ici, dans cette instance hors catégorie dans le classement Pisa, que vous apprendrez ce qu’est le Monde : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur. C’est ici que vous apprendrez ce qu’est le Vivant : comment il se construit, comment il fonctionne, quelle est son histoire, quel est son futur (son devenir). C’est ici que vous apprendrez ce qu’est la Connaissance : comment elle se construit, quelle est son histoire, son aboutissement à l’Omniscience et à l’Art mathématique. C’est ici que seront proposées des solutions pérennes visant à résoudre les problématiques de l’énergie, de l’eau (centrales thermochimiques) ; les problématiques de déchets (déchets nucléaires, déchets industriels, déchets domestiques) ; les problématiques de reculs des traits de côtes et d’infiltrations d’eau salée ; les problématiques de maladies inguérissables ; les problématiques de durée de vie ; les solutions visant à “contenir” l’ampleur des phénomènes naturels.
Afghanistan, Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Allemagne, Andorre, Angola, Anguilla, Antarctique, Antigua-et-Barbuda, Antilles-néerlandaises, Arabie saoudite, Argentine, Arménie, Artsakh(Haut-Karabakh), Aruba, Australie, Autriche, Azerbaïdjan, Bahamas, Bahreïn, Bangladesh, Barbade, Bélarus(Biélorussie), Belgique, Belize, Bénin, Bermudes, Bhoutan, Bolivie, Bosnie-et-Herzégovine, Botswana, Brésil, Brunei, Bulgarie, Burkina-Faso, Burundi, Caïmans, Cambodge, Cameroun, Canada, Canaries, Cap-Vert, Chagos, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Comores, Congo, Cook, Corée du Nord, Corée du Sud, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Curaçao, Danemark, Djibouti, Dominique, Égypte, Émirats arabes unis, Équateur, Érythrée, Espagne, Estonie, Eswatini(Swaziland), États-Unis, Éthiopie, Féroé, Fidji, Finlande, France, Gabon, Gambie, Géorgie, Géorgie du Sud, Îles Sandwich du Sud, Gibraltar, Grèce, Grenade, Groenland, Guadeloupe, Guam, Guatemala, Guinée, Guinée Equatoriale, Guinée-Bissau, Guyana, Guyane, Haïti, Honduras, Hong Kong, Hongrie, Îles Anglo-Normandes-Jersey et Guernesey, Îles Vierges, des États-Unis, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Irlande, Islande, Israël, Italie, Jamaïque, Japon, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Kirghizistan, Kiribati, Kosovo, Koweït, Kurdistan, Laos, Lesotho, Lettonie, Liban, Libéria, Libye, Lituanie, Luxembourg, Macao, Macédoine du Nord, Madagascar, Madère, Malaisie, Malawi, Maldives, Mali, Malouines, Malte, Man, Mariannes, Maroc, Marshall, Martinique, Maurice, Mauritanie, Mayotte, Mexique, Micronésie, Moldavie, Monaco, Mongolie, Monténégro, Montserrat, Mozambique, Myanmar(Birmanie), Namibie, Nauru, Népal, Nicaragua, Niger, Nigéria, Nioué, Norfolk, Norvège, Nouvelle-Calédonie, Nouvelle-Zélande, Oman, Ossétie du Sud Alanie, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palaos, Palestine, Panama, Papouasie, Nouvelle Guinée, Paraguay, Pays-Bas, Pays Bascaribéens, Pérou, Philippines, Pitcairn, Pologne, Polynésie française, Porto Rico, Portugal, Pount, Qatar, République centrafricaine, République démocratique du Congo, République dominicaine, Réunion, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Rwanda, Sahara occidental, Saint-Barthélemy, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, Saint-Marin, Saint-Martin (France), Saint-Martin (Pays-Bas), Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Salomon, Salvador, Samoa, SamoaAméricaines, SaoTomé-et-Principe, Sénégal, Serbie, Seychelles, Sierra Leone, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Somalie, Somaliland, Soudan, Soudan du Sud, Sri Lanka, Suède, Suisse, Suriname, Syrie, Tadjikistan, Taïwan, Tanzanie, Tchad, Tchéquie, Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), Timor oriental, Togo, Tokelau, Tonga, Transnistrie, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Turkménistan, Turques-et-Caïques, Turquie, Tuva, Ukraine, Uruguay, Vanuatuu, Vatican, Venezuela, ViêtNam, Wallis-et-Futuna, Yémen, Zambie, Zimbabwé.
Dans cette vidéo les chercheurs des universités françaises les mieux classées du classement Pisa 2024 confirment l’impuissance de la Science à élucider le Monde. Autrement dit ils avouent l’indigence des systèmes de recherche mondiaux.
Pourquoi tout au long de l’histoire de l’humanité, l’homme s’est-il évertué à cannibaliser l’humain ? Cannibalisme social et sociétal. Cannibalisme culturel. Cannibalisme cultuel. Cannibalisme politique. Cannibalisme économique.
Toutes les peuplades terriennes, sans exception, tous continents confondus, ont eu à subir des affres génocidaires. Des massacres de masse perpétrés par des pharaons, par des envahisseurs, par des conquistadors, par des colonisateurs, par des empereurs, par des tyrans, par des dictateurs, par des révolutionnaires, par des croyants intégristes, par des identitaires sectaires, par des mafieux cupides. D’une manière générale, le poison de la cupidité semble déterminer les actions des hommes. C’est comme une fin en soi.
L’exemple le plus éminent est ce peuple de Judée qui s’est fait « génocider » à répétition. Aujourd’hui, les deux fratries de ce peuple martyr, descendants d’Israël et d’Ismaël, s’affrontent sur fond de cannibalisme cultuel en une lutte à mort pour la possession de Jérusalem. Un différent, semble-t-il, à propos d’une interprétation tragique d’un livre commun : la Bible. Cet affrontement ne se justifie pas. Les deux fratries devraient pouvoir se réconcilier et faire nation au sein d’un état unique avec Jérusalem pour capitale. Cela sera fait lorsque les illuminés de deux camps seront neutralisés.
L’être vivant doit se nourrir pour vivre et pour survivre. Pour vivre et pour survivre, le vivant doit se nourrir de vivants. L’être vivant, animal ou homme, doit tuer pour assouvir sa faim, pour assurer sa survie, la survie de son groupe et de son espèce. Mais au contraire de l’animal qui arrête de chasser dès sa faim assouvie, l’homme continue de tuer, même quand il n’a plus faim. Il tue par passion. Il exécute par plaisir. Il assassine par désir de suprématie. Il extermine par envie de toute-puissance.
Tout au long de l’histoire de l’humanité, les massacreurs, les oppresseurs, les envahisseurs ont été éjectés de cette histoire, les pieds devants. Ils ont été débarqués, soit par la révolte des opprimés, soit par la riposte des envahis, soit par l’action ultime de la Nature, empalés sur le glaive du Temps. A côté de cela, les populations victimes se sont toujours relevées et reconstituées. Le Temps aidant !
Si la prédiction de Platon en faveur d’une rédemption de la société humaine par la grâce de l’omniscience s’avérait juste, alors peut-être serait-il possible d’envisager que l’enseignement de l’Omniscience à tous les peuples terriens, permette de panser les plaies de l’histoire et des actualités, jusqu’à ambitionner, collectivement, un retour au Graal de l’Éden des origines ?
Si une guerre nucléaire devait survenir, le ou les pays déclencheurs subiront des effets de type Hiroshima ou Hiroshima ++++ détruisant leurs mégalopoles. Surtout si ces pays déclencheurs de conflits ne disposent pas de moyens fiables d’interception de missiles, ce qui est le cas, actuellement. Il y aura des populations décimées, des infrastructures et des villes rasées. Mais aucun effet irréversible sur la Nature.
A l’inverse les pays agressés qui sont très bien pourvus en moyens d’interception, pourront faire exploser les missiles en vol. Ces explosions en altitude ne provoqueront pas d’impact de type Hiroshima. Tout juste des effets de souffle en fonction de l’altitude, et puis, le champignon d’hydrogène résultant de l’explosion s’évanouira dans l’espace, sans aucune conséquence pour la Nature.
Sans compter qu’en raison des distorsions de distances, engendrées par les SIG en vigueur (erreurs de l’ordre de 1° à 2° de latitude et de 1° à 2° de longitude en moyenne), la plupart des missiles porteurs de bombes guidées par GPS finiront à la baille.
Il faudrait 9 960 000 impacts de bombes Hiroshima pour cribler l’ensemble des terres émergées d’impacts du type Hiroshima. Le stock total des pays détenteurs est seulement de 11 833. Quand bien même toutes ces bombes des arsenaux exploseraient de conserve, il y aurait quantité d’impacts locaux, mais dont l’effet sur la planète serait celui d’une nuée de bourdons asiatiques sur le cuir plâtré de boue d’un éléphant mâle solitaire.
Pour porter atteinte à la Planète, il faudrait des bombes détenant puissance de volcan. Cela est hors de portée de la capacité de la Science. Son ignorance de sa mécanique et sa fonction au sein d’une planète en général et de la Terre en particulier.
La première et principale raison, c’est d’avoir érigé en loi fondamentale le principe de symétrie ou principe de conservation. “On ne peut ni créer l’énergie ni la détruire ; on ne peut que la transformer en la faisant passer d’une forme à une autre. La conservation de l’énergie est l’une des lois fondamentales de la physique. La quantité de mouvement est aussi conservée. Le moment cinétique est une autre quantité qui est conservée. Ce sont là des relations mathématiques ayant trait à l’existence des symétries dans les équations qui décrivent la réalité”.
La seconde raison c’est de ne pas avoir créé les “instruments” de modélisation mathématique. Préférant investir dans des technologies aussi “foireuses” que coûteuses : les accélérateurs de particules, les supercalculateurs, les sondes spatiales, les observatoires astronomiques, les sondes spatiales du type WMAP, Planck, JUICE, les télescopes spatiaux comme Hubble et James Webb… Technologie n’est pas Science. Elle n’est pas créatrice de connaissance, fût-elle consacrée intelligence artificielle. Il suffirait de demander à GPT4 de résoudre la théorie du tout.
La troisième raison c’est son enfermement sectaire dans le culte de l’athéisme. Son adhésion aux idéologies du hasard, du néant et du relativisme. Sa cécité aux réalités des physiques de l’Édifice monde et l’irréalisme qui caractérise le traitement des phénomènes de la Nature ! L’irrationalité et l’indétermination des mathématiques statistiques.
Empédocle (495 avant J-C – 435 avant J-C) est l’initiateur de ce principe de conservation. Il a théorisé ce principe en réponse à la question « Quelle est l’origine des choses ? » que les érudits grecs s’étaient engagés à résoudre afin d’établir la connaissance. En fait, cette question est la formulation initiale de la quête de la Théorie du Tout. Effectivement, selon les érudits grecs, connaître l’origine des choses devait permettre de tout connaître du monde. Afin d’élucider ce questionnement, Empédocle proposa le concept de « conservation ». Il théorisa un principe qui concilie la permanence des substances, (leur conservation) avec le changement perpétuel des apparences des choses au sein de l’Univers. Il stipula que la vérité, c’est-à-dire « la connaissance véritable » est assujettie aux formes simples qui se conservent. Ce qui veut dire qu’une proposition peut être qualifiée de « vérité scientifique » dès lors qu’elle fait état d’éléments qui demeurent inchangés au cours d’un processus de transformation. Empédocle énonça son concept comme suit : « Ce qui nous apparaît comme le commencement ou la fin d’un être n’est qu’une illusion ; en réalité, il n’y a rien que mélange, réunion de plusieurs substances. Les éléments dont toutes les choses sont composées consistent en quatre substances différentes incréées et impérissables. Ces quatre éléments, l’eau, la terre, le feu et l’air, sont donc les principes composant toutes choses.
Empédocle conclut son développement par cet axiome : « Rien ne naît de rien et rien ne retourne à rien. »
Antoine Lavoisier (18ième siècle) reformula l’axiome d’Empédocle de la manière suivante :
« Rien ne se perd et rien ne se crée, tout se transforme »
« L’énergie d’un photon peut se transformer en énergie de masse : par exemple, un photon peut donner naissance à deux électrons (l’un positif, l’autre négatif) de masse m, (à la condition que hv > 2 mc²). »
« Autre source de production d’énergie de masse : considérons par exemple le choc d’un proton en mouvement rapide, par conséquent très énergétique selon la terminologie courante, contre un autre proton, immobile celui-ci. D’une collision de cette espèce on voit souvent émerger, outre les protons initiaux, d’autres particules ayant des masses appréciables. Ce fait est prodigieusement instructif. En effet, à la vitesse près, les deux protons qui émergent se manifestent comme étant absolument identiques aux deux protons qui constituaient à eux seuls le système physique incident. Dans ces conditions, de la masse a nécessairement été créée, celle de toutes les autres particules, et par conséquent nous ne pouvons plus à la fois garder la masse comme mesure de la quantité et de continuer à dire que celle-ci est conservée. Mais outre, cet abandon du vieux principe de conservation de la matière, du principe de Lavoisier, n’est pas le seul que l’on doive faire. »
Cette expérience de l’énergie de masse consacre la non-conservation de la quantité de matière, la non conservation de la quantité d’énergie.
Cette expérience invalide le principe de conservation, et par conséquent le concept de symétrie.
Le document RADIOACTIVITE ENERGIE NUCLEAIRE de Gaston Dupuy – Presses Universitaires de France (1975) fait état des travaux conduits par Marie Curie sur la physique de la radioactivé naturelle. La radioactivité naturelle est un phénomène spontané, non influençable par les divers agents physiques connus : température, pression, densité. Phénomène inopérant dans le vide. Plus largement, aucun phénomène physique n’interagit avec le vide ni au sein du vide.
Marie et Joliot Curie mirent en évidence qu’au cours des désintégrations radioactives, « les corps simples ne se conservent pas ». Ils se transforment lentement les uns dans les autres. C’est ainsi que l’uranium ordinaire, de poids atomique 238, transmute de moitié en 4 650 millions d’années en uranium de poids atomique 234 ; cet uranium 234 se change à son tour en 270 000 ans en ionium ; l’ionium en 83 000 ans en radium ; le radium en 1 590 ans en radon ; le radon en 4 jours en radium A, et ainsi de suite, jusqu’au dernier maillon de la chaîne qui serait le plomb.
Ces transformations chimiques en cascade, ou « transmutations » qui aboutissent à des éléments non seulement de natures, mais surtout de masses différentes, attestent que la quantité de matière ne se conserve pas. Donc la Masse (la matière) ne se conserve pas. Dans la mesure ou M=E, alors l’énergie, également, ne se conserve pas.
La symétrie ne constitue donc pas une vérité scientifique.
La conservation ne constitue donc pas une vérité scientifique.
L’invalidation du concept de symétrie et donc du principe de conservation invalide la théorie de jauge. L’invalidation de la théorie de jauge, consacre l’invalidation du modèle standard des particules. L’invalidation du modèle standard consacre l’invalidation de la totalité du spectre physique de la science.
C’est le cas de l’astrophysique, des théories, théorèmes généraux et équations de la Mécanique céleste, de la théorie des planètes, du théorème du mouvement de centre de gravité, du théorème du moment cinétique, de la loi de Newton, des équations du problème de N corps, du mouvement elliptique, des unités astronomiques dans le système solaire, du théorème de Jacobi, des équations canoniques, de la théorie de Delaunay, des variables de Delaunay, de la théorie de Lagrange, des équations de Lagrange.
C’est le cas des sciences SVT.
C’est le cas des objets et des phénomènes déduits des équations différentielles comme le boson de Higgs, le trou noir, la matière noire, l’énergie du vide… Le modèle Big Bang standard.
C’est cas de la notion de gaz à effets de serre, etc. etc.
Cette vidéo constitue une approche rapide des causes du changement climatique par l’Art mathématique .
Lorsque la Science, par la voix du GIEC, prédit la « montée » des eaux marines à cause du réchauffement climatique qui engendre sa « dilatation ». C’est proprement ahurissant ! Comment les participants à cet organisme, qui sont censés être des physiciens pointus, ignorent-ils que la physique enseigne que l’eau fait partie des rares éléments qui ne se dilatent pas sous l’effet de la chaleur. L’image suivante le démontre. L’image qui suit montre que ce sont les bordures continentales qui s’enfoncent dans les profondeurs et qui sont causes des reculs des traits de côtes.
Sur le document iGn (France & Pologne), en question, nous avons des flèches de deux couleurs qui signalent les mouvements verticaux des terres émergées, continents et îles. Les flèches rouges indiquent une élévation d’altitude par rapport au niveau de la mer, et les flèches bleues démontrent une baisse d’altitude toujours par rapport au niveau de la mer. Les flèches bleues indiquent plus précisément que les bordures des continents et des îles (les marges continentales) s’enfoncent dans les profondeurs. Ce mouvement de plongée est dû à l’expansion des fonds marins qui est la traduction physique de l’expansion de la Terre. Les plaques océaniques repoussent les continents de part et d’autre des failles. En se refroidissant, ces plaques s’enfoncent en entrainant les bordures continentales. Les longueurs des flèches précisent les vitesses de ces mouvements verticaux. Quinternaire-CQADSG produira des documents, non pas avec des flèches, mais avec des nombres précis en millimètres.
Cette question sera abordée à l’occasion des cours relatif au fonctionnement des planètes et au donc au fonctionnement de la Terre.
Deux effets concomitants : édification de la structure du Temps. Squelette du Temps est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. (T), chaque strate est une sphère relative à une séquence du Temps – édification de l’architecture de l’Univers (U), Squelette de l’Univers est plus approprié. Ce squelette est une figure spectrale. Chaque strate est une sphère relative à un étage de l’Univers.
L’Univers n’est pas l’espace, l’espace-ciel contenant le monde. Contenant l’Édifice monde. L’Univers c’est la géographie de l’Édifice monde. La nomenclature des données relatives à l’Univers devraient permettre de réaliser le “GPS” de l’Espace. Le GPS de l’Espace-Ciel. Les étoiles et les planètes demeurent dans la zone géographique où elles naissent.
La somme des séquences de temps donne l’âge exact de l’Édifice Monde. Chacune de ces séquences donne aussi, pour un objet stellaire quelconque, l’année de son émergence après Big Bang ainsi que son âge précis en années.
La somme de ces séquences donne l’Arborescence des Temps HistoSpatioGéologiques. Cette Arborescence des temps HistoSpatioGéologiques. Ce déploiement du temps depuis l’évènement Big Bang sur le véhicule rayonnement thermo-électromagnétique, absorbe l’échelle des temps géologiques ; de même que la totalité des chapitres historiques séquentiels qui relatent l’histoire et le devenir de l’Édifice Monde.
La dernière onde en cours de sphérification porte le numéro 12 278. Cette fermeture aura lieu dans 9 000 100 ans. Après la clôture de cette séquence l’Édifice monde sera âgé de 16 503 005 000 ans. L’Univers sera affublé de 12 278 étages.
Selon les attendus de l’Omniscience : pour répondre à ces deux formulations, il convient de résoudre cette double interrogation ? Le monde existe-t-il depuis toujours ? Ou bien est-il né ? A-t-il commencé ? L’évènement Big Bang apporte une réponse absolue à cette double interrogation. L’évènement Big Bang stipule un commencement, donc une naissance. Ce qui veut dire que notre monde résulte d’un acte de création. Qui en est l’auteur ?
Les esprits croyants parleront de création divine. Les esprits se disant athées parlerons de hasard et questionneront : « Si c’est Dieu, qui a créé Dieu ? »
A cette triple interpellation, l’Omniscience réplique : à la première, qu’il s’agit du miracle initial ; à la seconde, que le hasard n’est pas créateur et le hasard ne s’applique pas à une unité, le hasard est une loterie, il s’appliquera aux vivants, nous verrons comment ; et à la troisième, que Celui qui a pu créer ce monde exceptionnel détient assurément la capacité de s’auto-engendrer.
Finalement, ces questions sont veines. Car le monde existe, puisque nous sommes là. Le monde existe et il a commencé. Ce qu’il importe de savoir c’est comment ce monde s’est construit. Ce qui est certain, c’est que notre monde ne s’est pas construit par nucléosynthèse.
Ci-dessous la vue en coupe de l’Édifice Monde depuis un regard extérieur. Ce que le Créateur voit de l’Édifice Monde depuis la fenêtre de son Monde : le Monde du Verbe et des Archanges.